Sodomites et « ravisseurs de vierges »
A Bologne, à la fin du Moyen Age, il était beaucoup plus grave de violer un petit garçon qu'une petite fille.
A Bologne, à la fin du Moyen Age, il était beaucoup plus grave de violer un petit garçon qu'une petite fille.
A la fin de l'Antiquité, une certaine Eugénie prit l'habit d'homme et devint moine. Au Moyen Age, l'Église voua un culte à cette transgenre devenue sainte.
En deux siècles, le mélange des filles et des garçons dans l'espace scolaire s'est imposé en France comme une norme avant d'être un laboratoire du vivre-ensemble. Il fallut pour cela surmonter bien des résistances - qui sont peut-être insidieusement en train de resurgir.
Enquêtes à Londres et à Paris dans les lieux et pratiques du plaisir : deux capitales du sexe livrent leurs secrets.
Les corpus iconographiques de la sexualité coloniale sont immenses et constituent des sources précieuses pour les historiens même si certains jugent ces documents trop violents pour être montrés. Explications.
Ni hommes ni femmes, les eunuques, dont le statut est reconnu, sont les seuls à pouvoir approcher les femmes aristocrates ou la chambre de l'empereur. Un rôle qui leur confère un pouvoir extraordinaire.
Les figures d'impératrices ne doivent pas faire oublier que la femme byzantine était légalement considérée comme une mineure. Ce qui ne l'empêchait pas de jouer un rôle actif dans la société.
Pour échapper au front, aidé par Louise qu'il aime, Paul devient Suzanne. André Téchiné adapte le livre des historiens Fabrice Virgili et Danièle Voldman.
Les hijras, des eunuques pratiquant des spectacles rituels lors de mariages ou de naissances, ont inquiété les autorités britanniques. Au point qu'elles tentèrent de les faire disparaître.
En poursuivant votre navigation sur les sites du groupe Sophia Publications, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des services et contenus personnalisés.