Dardanelles : le traumatisme
A la tête de la Marine anglaise, Churchill imagine en janvier 1915 d'attaquer l'Empire ottoman dans le détroit des Dardanelles. Ce sera l'un des pires désastres de la Première Guerre mondiale.
A la tête de la Marine anglaise, Churchill imagine en janvier 1915 d'attaquer l'Empire ottoman dans le détroit des Dardanelles. Ce sera l'un des pires désastres de la Première Guerre mondiale.
Les origines familiales, la formation, l’expérience ont donné à Churchill une certaine idée de la grandeur anglaise. Qui ne peut reposer que sur l’empire.
Churchill reste le grand héros de la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, s’il a su galvaniser le pays lors de la bataille d’Angleterre, il a aussi commis des erreurs, de stratégie ou d’évaluation des adversaires... Bilan.
Il y a deux cent cinquante ans, le 13 septembre 1759, la défaite du marquis de Montcalm lors de la bataille des plaines d'Abraham à Québec sonnait le glas de l'Empire français en Amérique du Nord.
La cuisine anglaise souffre d'une mauvaise réputation. Longtemps, pourtant, les « rosbifs » ont pu s'enorgueillir d'une alimentation plus carnée et plus saine que celle des Français. Entre-temps, il est vrai, l'ère victorienne a apporté son lot de mauvaises habitudes.
En 1920, la Société des nations confie aux Britanniques un mandat sur la Palestine. Avec une mission : organiser sur cette terre la cohabitation des Juifs et des Arabes. Au terme de vingt ans d'erreurs de jugement, d'atermoiements et de revirements, l'échec est patent.
On l'appelle aussi Boadicée. Boudicca, reine guerrière du Ier siècle, dirigea la grande révolte des Bretons contre l'occupant romain. Elle est devenue une légende en Angleterre.
Robin des bois, l'insolent hors-la-loi qui châtie les riches et défend les pauvres. En 1979, l'historien britannique Rodney Howard Hilton voyait en lui l'incarnation de l'antagonisme entre paysans et propriétaires au XIVe siècle. Une analyse marxiste aujourd'hui un peu discutée. Et le contrepoint de Jean-Philippe Genet.
Il y a trois cents ans, l'Écosse renonçait définitivement à son indépendance ; le Royaume-Uni de Grande-Bretagne était né. Une union nécessaire à l'époque, que les Écossais tendent à rejeter aujourd'hui.
L'Irak moderne est né au lendemain de la Première Guerre mondiale, par la volonté britannique. Conquis sur l'Empire ottoman, il est resté sous domination anglaise, bien qu'indépendant, jusqu'en 1958. Le pétrole, déjà, en faisait un enjeu international.
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