Industrie

1955 : naissance d'une déesse...

Robe champagne, toit aubergine... Il y a cinquante ans, Citroën présentait la DS. Une voiture que sa ligne, ses caractéristiques techniques placent hors du temps. Ce fut l'émeute, cette année-là, au Salon de l'automobile !

Qui a sauvé l'automobile américaine ?

Les États-Unis, patrie du libéralisme ? A voir... Le gouvernement ne cesse d'intervenir dans l'économie. En particulier dans le secteur de l'automobile, emblématique de l'industrie américaine. C'est bien grâce à l'État qu'a été surmontée la crise des années 1980 !

Le bel âge de l'industrie

Foncièrement agricole à la Libération, la France est devenue, en trois décennies, un grand pays industriel. Pour peu de temps : sa richesse provient aujourd'hui d'abord des services. Un bouleversement dont on mesure mal l'ampleur.

Le capitalisme était bien parti

Jusqu'à l'abolition du servage en 1861, l'économie russe est restée pour l'essentiel à l'écart de la révolution agricole et industrielle. Pourtant, sur fond de retard économique, se détache un phénomène original : l'ascension fulgurante de quelques centaines de serfs-entrepreneurs. De véritables capitalistes !

L'exception automobile

Mais pourquoi faut-il donc qu'en matière automobile la France ne fasse rien comme les autres ? Parce que c'est la clé du succès de Renault et de Peugeot. Le Mondial de l'automobile, du 28 septembre au 13 octobre, devrait encore une fois le confirmer.

Ford et Chrysler en France : l'échec des géants

« Les Américains n'ont rien compris à la France... » Ils ont été les pionniers de l'industrie automobile au début du XXe siècle : leurs méthodes ont fasciné, leurs modèles sont restés célèbres. Ils n'ont pas réussi cependant à s'implanter durablement dans notre pays. Malgré les tentatives de Ford puis de Chrysler. Incompétence ? Arrogance ? Diagnostic d'un échec.