Février-avril 1913 : Péguy contre Jaurès
Dans les Cahiers de la quinzaine, Péguy fourbit ses arguments contre le pacifisme de Jaurès et les intellectuels du « parti allemand ». Un nationalisme virulent s'exprime.
Dans les Cahiers de la quinzaine, Péguy fourbit ses arguments contre le pacifisme de Jaurès et les intellectuels du « parti allemand ». Un nationalisme virulent s'exprime.
La longue période de présence japonaise dans la péninsule coréenne a développé une forme de colonisation assez singulière. Elle a laissé des traces durables dans la société et dans le territoire du pays.
La révolution de 1911 avait voulu réunifier et moderniser un pays attardé. C'est tout le contraire qui se produit : son échec ouvre une ère de guerres civiles, de brigandage et de conflit avec le Japon. En 1949, les communistes peuvent ramasser la mise.
Sous l'Empire ottoman s'élabore le rêve d'une Grande Syrie. Il prend fin en 1920 avec l'instauration des mandats français et britannique sur la région. Le symbole de cet échec reste pour les Syriens la perte du Liban.
Avant la conquête française, les habitants de l'Algérie ne se sentaient pas algériens. Il leur fallut un siècle de domination coloniale pour parvenir à cette prise de conscience. Mais à la veille de l'insurrection, le pays est déjà une nation en puissance.
Le point de vue d'un historien algérien sur l'évolution du récit national depuis 1962. Longtemps mythifié, il s'infléchit depuis les années 1980. La complexité du conflit commence à apparaître.Entretien avec Abdelmadjid Merdaci
L'Allemagne ? « L'ennemie n° 1 ». L'Angleterre : l'ennemie héréditaire. Le nationalisme intégral de Maurras ne l'empêcha pas de soutenir indirectement, en 1940, le parti de l'occupant.
En 1821, l'Europe embrassait la cause des Grecs en lutte pour l'indépendance. Mais la démocratie était encore loin...
Dès son assassinat en 1919, Zapata est devenu un mythe. Peut-être parce qu'il n'a jamais voulu le pouvoir et qu'il s'est battu toute sa vie pour que les paysans spoliés retrouvent leurs terres.
Dès le début du XXe siècle, réformistes musulmans et militants révolutionnaires ont jeté les bases du nationalisme algérien. Leur credo ? « L'islam est ma religion, l'arabe est ma langue, l'Algérie est ma patrie. »
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