Le Congo raconté par la peinture
Au Congo, les espoirs et les drames du pays, depuis l'indépendance en 1960 jusqu'à la dictature de Kabila, s'expriment dans la peinture urbaine. Des oeuvres étonnantes, à découvrir.
Au Congo, les espoirs et les drames du pays, depuis l'indépendance en 1960 jusqu'à la dictature de Kabila, s'expriment dans la peinture urbaine. Des oeuvres étonnantes, à découvrir.
Florence devient la capitale culturelle de l'Europe au XVe siècle. Une avant-garde de lettrés, les humanistes, met alors son savoir au service de la cité. Avec un objectif : exalter le régime républicain.
Il y a quatre cents ans naissait Philippe de Champaigne. Portraitiste de talent, reconnu pour son esthétique classique, il fut aussi un fervent chrétien qui voyait Dieu partout. L'un des plus grands peintres français. Qui reste méconnu.
Les fouilles du site de Pompéi ont mis au jour de multiples peintures érotiques. Toutes ne sont pas le signe d'une activité érotique vénale. De telles peintures ornaient aussi, en effet, des demeures privées.
C'est au Clos-Lucé, près d'Amboise, que Léonard de Vinci passe les dernières années de sa vie. Pensionné par François Ier, qui l'appelait « mon père », pour des projets d'architecture et des programmes de fêtes. Et aussi pour le plaisir de sa conversation.
Leur cote est aujourd'hui au plus haut sur le marché de l'art. A leurs débuts, Monet, Degas, Sisley, Renoir ou Berthe Morisot peinaient à s'imposer comme des peintres de talent. Récit d'une extraordinaire aventure collective, connue sous le nom d'impressionnisme.
Le peintre André Fougeron vient de mourir. Il y a cinquante ans, au Salon de 1948, son tableau Les Parisiennes au marché faisait scandale, Acte de naissance du « réalisme socialiste » à la française.
1914-1918 a eu de tragiques conséquences dans le domaine artisticjue. Envoyés sur le front, certains peintres y meurent. Les autres échouent à rendre compte de la guerre. La paix revenue n'efface pas le traumatisme : toute préoccupation esthétique n'est-elle pas devenue vaine ?
En 1660, Louis XIV prend. Alexandre pour modèle. Quinze ans plus tard, il répudiera l'image de ce monarque païen, guerrier brutal et avide de vaine gloire.
Ecrivain, poète, amateur d'art, Jean Cassou est aujourd'hui presque oublié. On lui doit pourtant, sous le Front populaire, la création du musée national d'Art moderne. Deux expositions lui rendent actuellement hommage*.
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