Pouvoir

L'empereur romain est aussi un citoyen

Vertueux, mais aussi accessible, acceptant les critiques et refusant les honneurs : tel est le bon empereur aux Ier et IIe siècles ap. J.-C. à Rome. Il se doit d'être le « primus inter pares », premier parmi ses pairs. Un modèle appelé à durer.

La prise du pouvoir par l'Église

Longtemps mis de côté ou simplement réduit à un temps de renouveau culturel, le XIIe siècle est considéré aujourd'hui comme un véritable temps de rupture, un moment où l'Église entend dominer tous les aspects de la société.

La France orpheline

Malgré la restauration de la monarchie, Napoléon a profondément marqué les institutions. Mais le conquérant a aussi laissé un vide, difficile à combler.

Le bal des girouettes

On connaît bien Talleyrand, qui servit la république, l'Empereur et quelques rois. Mais ils furent beaucoup plus nombreux, ces professionnels de la politique qui devaient tout à Napoléon mais se sont accrochés au pouvoir après sa défaite.