Une commémoration très politique
Les Australiens s'apprêtent à commémorer avec faste le centenaire de la Grande Guerre. Cet engouement est aussi la conséquence d'une volonté politique amorcée dans les années 1990.
Les Australiens s'apprêtent à commémorer avec faste le centenaire de la Grande Guerre. Cet engouement est aussi la conséquence d'une volonté politique amorcée dans les années 1990.
L'échec de la campagne de Gallipoli ne fit qu'ajouter à sa grandeur tragique. Baptême du feu de la jeune nation, elle donna naissance dès 1915 à la figure héroïque du soldat australien.
Août 1914 : ils sont des centaines de milliers à se porter volontaires pour partir se battre à l'autre bout du monde aux côtés de la Grande-Bretagne. Gallipoli sera leur pire cauchemar. Mais beaucoup d'autres fronts attendent les « diggers ».
Maadiar évoque avec force la vie du peintre Mathurin Méheut dans les tranchées de la Grande Guerre.
Depuis le début de l'été, les chrétiens d'Irak vivent un calvaire : visés par les groupes islamistes, ils sont victimes de persécutions. Un tragique écho aux soubresauts de la Première Guerre mondiale dans la région, marquée par l'exode, le massacre et la disparition de communautés entières de chrétiens du Hakkari, à l'est de l'Empire ottoman, et du nord-ouest de l'Empire perse.
Les Allemands sont-ils responsables de la Première Guerre mondiale ? Qu'en est-il vraiment des atrocités commises sur les civils dans les zones occupées ? D'où vient le mythe du « coup de poignard dans le dos » ? Un grand historien allemand répond, à la lumière des dernières recherches, aux questions qui n'ont jamais cessé d'empoisonner l'histoire.
De l'impossibilité de l'offensive décisive est né le « front » : un étrange univers qui a façonné les artistes.
Dès l'automne 1914, les usines automobiles, qui disposent de nombreux atouts pour produire de l'armement, entrent en guerre.
Qui sont ces couples qui se marient à la hâte à l'annonce de la mobilisation générale à Paris ? Les registres de l'état civil sont formels : ils viennent en grande partie des classes populaires de l'Est parisien, vivant en concubinage avant la guerre.
Peut-on faire « ressentir » la Première Guerre mondiale ? Deux documentaires s'y essayent avec des approches différentes.
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