Propagande

Le génie de la propagande

Une gigantesque oeuvre de propagande fut au coeur du nazisme. Explique-t-elle son succès auprès des Allemands ? A-t-elle trompé les contemporains sur la nature du régime ? A-t-elle réussi à souder le peuple à son Führer ?

Arrivisme et propagande : comment on devient Bonaparte

« Une maturité inaccoutumée », « une imagination exaltée », une « aptitude au commandement » précoce : les biographes se sont plu à lire dans la jeunesse de Bonaparte les signes annonçant son destin. Et à interpréter en rose ou en noir chaque épisode de son parcours. Bâtissant ainsi sa légende, de son vivant.

Arrivisme et propagande. Comment on devient Bonaparte

« Une maturité inaccoutumée », « une imagination exaltée », une « aptitude au commandement » précoce : les biographes se sont plu à lire dans la jeunesse de Bonaparte les signes annonçant son destin. Et à interpréter en rose ou en noir chaque épisode de son parcours. Bâtissant ainsi sa légende, de son vivant.

Des Allemands fascinés par le Führer

Musique, couleurs et drapeaux, grand-messes politiques : le charisme de Hitler vient moins de sa personne que de la position exceptionnelle qu'il occupa. Faisant de ce tribun de brasserie le héros d'une Allemagne à la recherche d'un rédempteur.

L'assassinat du duc de Guise

Le 23 décembre 1588, le duc de Guise, principale figure de l'agitation catholique, est assassiné à Blois sur ordre d'Henri III. Le lendemain, son frère, l'archevêque de Reims, connaît le même sort. Aussitôt, les pamphlets se déchaînent, faisant de ces deux morts les martyrs d'une cause sacrée. Un bel exemple de propagande politique, au temps des guerres de Religion.

Réalité et propagande : la barbarie allemande

Villages rasés, otages fusillés, femmes violées... Les récits des atrocités allemandes en Belgique et dans le Nord de la France ne manquent pas. En réponse, les responsables allemands dressent une image idyllique de la situation des territoires occupés. De part et d'autre, quelle est la part de la propagande ? Et celle de la réalité ?

Apothéose de la culture « aryenne »

De style classique mais d'envergure monumentale, l'architecture, la peinture et la sculpture, telles que Hitler les concevait, devaient incarner la supériorité de la « race aryenne ».