Propagande

Les succès de la propagande nazie

Depuis la fin de la guerre, des milliers de pages ont été écrites sur les techniques de la propagande nazie. Voilà pourquoi Henri Burgelin dresse ici un panorama général de cette propagande. Sans éluder les questions fondamentales : la propagande explique-t-elle le succès du nazisme auprès des Allemands ? A-t elle trompé les contemporains sur la nature du régime ? A-t-elle réussi à souder le peuple à son Fuhrer ?

Les Grandes Heures de la radio

Hier « pirates » ou « sauvages », aujourd'hui « libres », les radios privées sont les rejetons de l'antique et austère TSF. Avec vaillance, André-Jean Tudesq a exploré le maquis touffu des lois qui, en l'espace d'un demi-siècle, viennent d'accorder aux ondes une liberté surveillée.

Le «parti» colonial

Comme les autres grands pays d'Europe, la France a eu son « parti » colonial, qui a représenté un des groupes de pression les plus influents de la me République. Et qui ne recoupait pas la division droite/gauche.

Radio, l'histoire au jour le jour

Le journaliste de radio doit sacrifier au culte de l'histoire pour éviter la désinformation ou la manipulation. C'est l'opinion d'Alain Joannès, commentateur politique à Radio France.

La guerre commence à Madrid

Fascisme et antifascisme s'affrontent dans une Espagne en proie à la guerre civile. Deux puissances s'en mêlent : l'Allemagne et l'URSS. On n'y expérimente pas seulement des armes. La guerre d'Espagne est aussi la première grande guerre psychologique.

Quand les nazis se faisaient archéologues

1933 : les nazis prennent le pouvoir. Rapidement, l'Université est gagnée par la peste brune et se fait un devoir de fonder «scientifiquement» Jes délires hitlériens. L'archéologie, la première, est mobilisée au service de ia Nouvelle Allemagne. C'est cette aventure maudite que retrace pour nous Alain Schnapp*, dont Jes recherches portent sur i'utiiisation politique de l'archéologie.

Elisabeth Ire, la reine de la propagande politique

Elisabeth Ire d'Angleterre, la «vierge», «l'instrument du dieu protestant», «la reine des cieux»... Jamais à l'époque moderne un pouvoir, autant que celui d'Elisabeth, n'utilisa un tel culte de la personnalité. Pour forger une nation.