Des aristocrates préhistoriques ?
Il y a 25 000 ans, à travers toute l'Europe, les tombes conservent quelques notables.
Il y a 25 000 ans, à travers toute l'Europe, les tombes conservent quelques notables.
La christianisation n'a pas immédiatement transformé le traitement des défunts. Mais, au Moyen Age, l'installation des cimetières au coeur des paroisses modifie considérablement le lien entre les vivants et les morts. Un lien que l'Église entend bien contrôler.
Nous ne connaissons aucun peuple qui ne prenne pas soin de ses morts. C'est qu'avec le tabou de l'inceste et l'invention du langage ce souci définit l'homme, explique ici l'historien américain Thomas Laqueur.
En découvrant, à la fin du XIXe siècle, les masques d'or qu'il attribue au roi de Mycènes, Schliemann a cru faire entrer Agamemnon dans l'histoire. Qu'en pensent les historiens aujourd'hui ?
En 1191, les moines de Glastonbury, dans le sud-ouest de l'Angleterre, découvrent une tombe dans leur abbaye. C'est celle du roi Arthur, affirment-ils aussitôt. Donnant du même coup un ancêtre prestigieux aux Plantagenêts.
Au-delà des légendes établies par Grégoire de Tours, on se fait une idée de plus en plus précise de ce qu'on doit au premier roi de France.
En 1845, la tombe d'une femme gallo-romaine, ensevelie avec ses boîtes à couleurs et ses palettes, est découverte en Vendée. Malgré les efforts du collectionneur Benjamin Fillon, cette artiste du IIIe siècle reste un mystère.
A la fin du XIIe siècle, les moines d'une abbaye du sud-ouest de l'Angleterre clament avoir mis au jour la tombe et le corps du roi Arthur. Récit d'une manipulation politique.
En 1191, les moines de l'abbaye de Glastonbury, dans le sud-ouest de l'Angleterre, mettent au jour une tombe. Celle du roi Arthur, est-il aussitôt affirmé. Vraie découverte ou pure invention ? Enquête sur une nouvelle dont la dynastie régnante su tirer tout le bénéfice...
La plus célèbre tombe gauloise est celle d'une femme ! Elle a été mise au jour à Vix, en Bourgogne. Une découverte qui a remis en cause bien des certitudes archéologiques. Le débat n'est pas clos.
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