La chute des prix... littéraires
Écrivains, libraires, journalistes, c'est tout un monde qui s'agite dans l'attente des « prix littéraires ». Comment sont-ils nés ?
Écrivains, libraires, journalistes, c'est tout un monde qui s'agite dans l'attente des « prix littéraires ». Comment sont-ils nés ?
Y a-t-il une renaissance du fascisme ? Pour apprécier la réalité du phénomène, Michel Winock remonte à ses origines et suit l'itinéraire des tribuns qui ont tenté - pour s'imposer à i'opinion - de concilier le « nationalisme » et le « socialisme » par le truchement de l'antisémitisme.
Plus que tout autre, Edouard Herriot a su incarner la véritable mystique que fut le radicalisme au temps de la IIIe République. Faut-il, au nom d'une condamnation d'un régime révolu, enterrer définitivement celui qui en fut un des plus vivants symboles ?
Voici juste cent ans, une revue frivole, La Vie parisienne, commençait à publier les œuvres légères et parfois scandaieuses d'une certaine Gyp. Ses Mémoires retiennent aujourd'hui l'attention par les multiples renseignements qu'ils donnent sur les personnalités marquantes de la IIIe République.
Il y a cent ans un grand débat agite les Français : faut-il célébrer la prise de la Bastille, 14 juillet 1789, l'abolition du régime féodal, 4 août 1789 ou la chute du roi, 10 août 1792 ? En 1880, les républicains hésitent quant à la date de la fête nationale...
Par l'expulsion des jésuites, décidée il y a cent ans, la IIIe République ne s'acharnait pas gratuitement sur un vieil adversaire ; elle affirmait son identité idéologique: à défaut de République sociale, naîtrait une République laïque.
Aujourd'hui comme hier, on dénonce la politisation et la professionnalisation des jeux au nom de l'olympisme de ieur créateur, le baron Pierre de Coubertin. Mais peut-on défendre un idéal qui s'est iui-même trompé de siècle?
Les transfuges peuplent notre histoire politique: communards devenus antidreyfusards; royalistes devenus communistes ; communistes devenus fascistes... Parmi ceux-ci, le cas de Doriot est le plus célèbre. Jean-Paul Brunet, grâce notamment aux archives de la police, tente de résoudre l'apparente énigme de ce retournement psychologique et politique.
Mars-juin 1907 : le Midi viticole en crise s'insurge. Les « braves soldats du 17e » mettent crosse en l'air. Au-delà d'une mutinerie légendaire, de nouveaux documents révèlent l'ampleur et l'unanimité de la colère des vignerons.
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