Qui est responsable ?

En l'absence de sources directes, il est impossible de déterminer les responsabilités du massacre. Les sources (témoignages et Mémoires rédigés après coup) se contredisent. Pour démêler les responsabilités, les historiens ont multiplié les hypothèses.

Pourquoi fut-elle si détestée ?

De son vivant, Catherine de Médicis est déjà accusée de tous les crimes : comploteuse, diabolique, accapareuse de pouvoir... Denis Crouzet dénoue les fils d'une légende noire qui imprègne encore la littérature populaire du XIXe siècle ou le cinéma de Patrice Chéreau.

Enquête sur un massacre : la Saint-Barthélemy

Pendant une semaine, en août 1572, Paris est livré au meurtre et au pillage ; les catholiques exécutent par milliers les protestants. C'est le massacre de la Saint-Barthélemy : six jours et six nuits d'une barbarie sans nom. Comment expliquer ce carnage F Qui l'a ordonné ? Faut-il incriminer le roi de France Charles IX, ou bien sa mère Catherine de Médicis ? le débat reste ouvert parmi les historiens. Denis Crouzet publie un livre où il expose son interprétation desfaits. Une interprétation iconoclaste*...

Enquête sur un massacre : la Saint-Barthélemy

Pendant une semaine, en août 1572, Paris est livre au meurtre et au pillage ; les catholiques exécutent par milliers les protestants. C’est le massacre de la Saint-Barthélemy : six jours et six nuits d’une barbarie sans nom. Comment expliquer ce carnage ? Qui l’a ordonné ? Faut-il incriminer le roi de France Charles IX, ou bien sa mère Catherine de Médicis ? Le débat reste ouvert parmi les historiens. Denis Crouzet publie un livre où il expose son interprétation des faits. Une interprétation iconoclaste…

Le temps des régentes

A trois reprises, entre 1560 et 1643, le roi de France meurt brutalement alors que l'héritier du trône n'a pas atteint sa ma\orité. Tour à tour, Catherine et Marie de Médicis, puis Anne d'Autriche réussissent à s'imposer comme régentes du royaume. Comment ces trois femmes que rien ne prédisposait à gouverner, sont-elles devenues des «hommes d'État»?