Renaissance, le mythe de l'influence italienne
Macarons, sorbets, petits pois... L'idée que la gastronomie française devrait tout aux goûts de Catherine de Médicis circule encore. Il s'agit pourtant d'une légende popularisée au XIXe siècle.
Macarons, sorbets, petits pois... L'idée que la gastronomie française devrait tout aux goûts de Catherine de Médicis circule encore. Il s'agit pourtant d'une légende popularisée au XIXe siècle.
En l'absence de sources directes, il est impossible de déterminer les responsabilités du massacre. Les sources (témoignages et Mémoires rédigés après coup) se contredisent. Pour démêler les responsabilités, les historiens ont multiplié les hypothèses.
L'idée que la grande cuisine française devrait tout aux goûts de l'Italienne Catherine de Médicis a la vie dure. Il s'agit pourtant d'une légende inventée au XIXe siècle.
Catherine de Médicis possédait la plus grande collection de portraits d'Europe. Une passion qu'elle a mise au service de la gloire des Valois.
Pendant quinze ans, entre 1560 et 1574, Catherine de Médicis a gouverné le royaume. Avec une ambition : garantir la paix entre catholiques et protestants. Pourtant, son règne est marqué par les guerres. Pourquoi Catherine a-t-elle échoué ?
De son vivant, Catherine de Médicis est déjà accusée de tous les crimes : comploteuse, diabolique, accapareuse de pouvoir... Denis Crouzet dénoue les fils d'une légende noire qui imprègne encore la littérature populaire du XIXe siècle ou le cinéma de Patrice Chéreau.
Pendant une semaine, en août 1572, Paris est livré au meurtre et au pillage ; les catholiques exécutent par milliers les protestants. C'est le massacre de la Saint-Barthélemy : six jours et six nuits d'une barbarie sans nom. Comment expliquer ce carnage F Qui l'a ordonné ? Faut-il incriminer le roi de France Charles IX, ou bien sa mère Catherine de Médicis ? le débat reste ouvert parmi les historiens. Denis Crouzet publie un livre où il expose son interprétation desfaits. Une interprétation iconoclaste*...
Pendant une semaine, en août 1572, Paris est livre au meurtre et au pillage ; les catholiques exécutent par milliers les protestants. C’est le massacre de la Saint-Barthélemy : six jours et six nuits d’une barbarie sans nom. Comment expliquer ce carnage ? Qui l’a ordonné ? Faut-il incriminer le roi de France Charles IX, ou bien sa mère Catherine de Médicis ? Le débat reste ouvert parmi les historiens. Denis Crouzet publie un livre où il expose son interprétation des faits. Une interprétation iconoclaste…
A trois reprises, entre 1560 et 1643, le roi de France meurt brutalement alors que l'héritier du trône n'a pas atteint sa ma\orité. Tour à tour, Catherine et Marie de Médicis, puis Anne d'Autriche réussissent à s'imposer comme régentes du royaume. Comment ces trois femmes que rien ne prédisposait à gouverner, sont-elles devenues des «hommes d'État»?
La responsabilité du massacre de la Saint-Barthélemy est toujours attribuée à la « machiavélique » Catherine de Médicis et à son fils Charles IX. Or, pour Jean-Louis Bourgeon, toutes les sources sur lesquelles se fonde cette thèse sont des faux.
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