Arlette Lebigre

Et saigner et purger !

Que faire si un malade souffre d'une forte fièvre, d'un rhumatisme ou d'une indigestion ? Du nourrisson au vieillard, le même traitement au moindre signe suspect : on saigne et on purge !

Le secret des Tourlaville

En décembre 1603, les têtes de Julien et Marguerite de Tourlaville tombaient sous l'épée du bourreau. Simple fait divers. Jusqu'au jour où, par hasard, a surgi un trésor, - le document qui révèle au chercheur une réalité plus romanesque, plus troublante que la fiction.

Les préfets du roi contre les Régions

Comme les préfets, ils furent accusés d'action « illégale, injuste et pernicieuse ». Comme les préfets, ils représentaient le pouvoir central. Au moment où la « loi Defferre » sur les Régions veut briser l'État jacobin, Arlette Lebigre nous montre que ies préfets de l'Ancien Régime, les intendants du roi, étaient aussi le recours contre l'arbitraire et la violence des coteries locales.

Le « Grand Siècle » des empoisonneuses

Arsenic, orpiment, sublimé, eau-jorte... Avec leur reient de satanisme, les procès d'empoisonneurs - comme celui de Marie Besnard - continuent à fasciner. Au Grand Siècle, les poisons étaient une « arme sournoise » pour les femmes qui voulaient échapper aux maris que la société leur avait imposés.

L'« accusé » Henri III

M. Didier Godard souhaite «réagira l'article d'ArJette Lebigre f L'Histoire n° 28, novembre 1980) qui se voudrait une réhabilitation d'Henri III » ; il soulève le problème de l'homosexualité du roi :