Un siècle... « planéticide » ?
John McNeill l'affirme dans son dernier livre : le XXe siècle restera d'abord marqué par le désastre écologique.
John McNeill l'affirme dans son dernier livre : le XXe siècle restera d'abord marqué par le désastre écologique.
Il est le premier à avoir conçu l'idée que les hommes peuvent agir sur le climat.
Longtemps menace pour l'espèce humaine, les bêtes féroces auraient finalement pu disparaître au XXe siècle sous les coups de l'homme. La faune sauvage est aujourd'hui préservée - grâce à lui. Mais, pour Xavier de Planhol, la lutte continue.
L'écologie n'est pas née du seul souci de protéger les animaux. Un lecteur poursuit la réflexion de H. D. Yaqouti n° 316.
La planète court à sa perte... Cette peur ambiante n'est peut-être que la forme nouvelle d'une pensée de la décadence qui a émergé au XVIIIe siècle. Pierre-André Taguieff en retrace ici l'histoire.
Laboratoire de la « révolution verte », l'Inde a atteint en 1975 l'autosuffisance alimentaire. Reste que 300 millions de personnes ne mangent toujours pas à leur faim. Et l'environnement se dégrade.
La question de l’eau, sa propreté, sa distribution, sa retenue, est réglée en France depuis le XIXe siècle. Rien de tel en Asie, où des crues considérables font régulièrement des dizaines de milliers de morts. Le cri d’alarme du géographe Yves Lacoste. Qui n’hésite pas à mettre en cause ici les idées des écologistes. Entretien.
La planète se réchauffe-t-elle ? Le temps se « détraque »-t-il ? L’homme est-il responsable des « catastrophes naturelles » ? Toutes ces questions suscitent peurs et fantasmes. L’histoire nous apprend cependant à relativiser tempêtes et inondations. En effet, depuis trois mille ans environ, le climat de l’Europe n’a guère changé.
L'effet de serre : tout le monde en parle et le déplore. Mais sur quoi se fonde cette anxiété ? Olivier Postel-Vinay, directeur de la rédaction de La Recherche , dénonce ici une fascination collective.
Plus d'un siècle après la fin de sa conquête, l'Ouest continue d'exercer la même fascination. Mais les pionniers et les cow-boys légendaires, tel Buffalo Bill, n'en sont pas les seuls symboles. « La plus américaine des régions de l'Amérique » représente aussi la pureté des grands espaces opposée à la corruption de la société moderne. Elle fut le berceau de l'écologie.
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