De Gilgamesh à George Bush
Jean-Pierre Filiu et le dessinateur David B. livrent une lecture audacieuse des relations des États-Unis avec le Moyen-Orient.
Jean-Pierre Filiu et le dessinateur David B. livrent une lecture audacieuse des relations des États-Unis avec le Moyen-Orient.
Ni les Européens ni les Américains n'ont prévu l'effondrement de l'Union soviétique. Ils ont même tout fait pour l'empêcher.
L'Amérique « terre promise », mythe ou réalité ? Depuis les lois de quotas des années 1920 jusqu'à 1965, c'est la fermeture qui a primé.
Mois après mois le détail des opérations militaires et des tournants stratégiques.
Contrairement à ce qui a été souvent écrit, la guerre de Sécession reste une guerre traditionnelle. Mais si elle a tant frappé les contemporains, c'est qu'elle a fait entrer le monde dans l'expérience de la mort de masse.
Dans un premier temps, Napoléon III a considéré le conflit américain comme une affaire d'intérêts commerciaux. Pourquoi pas imaginer avec le Sud, si riche en coton, une zone de libre-échange ?
La guerre de Sécession, qui a coïncidé avec l'essor de la photographie moderne, a vu l'apparition des premiers reporters.
Les États-Unis sortent exsangues des quatre années de guerre. Le Sud, en particulier, est dévasté. La réconciliation sera longue à s'accomplir. Les Noirs, tout juste affranchis, en seront les grands perdants.
C'est l'élection de Lincoln qui déclencha la sécession du Sud et bientôt la guerre. Promu commandant en chef par les circonstances, le président sut surtout accompagner de main de maître le processus essentiel en jeu : l'abolition de l'esclavage.
La fondation de partis communistes dans toute l'Europe n'a été qu'une étape. Dès 1924, Moscou impose la « bolchevisation » : les PC obéiront désormais aveuglément aux directives de l'Union soviétique.
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