Les Rosenberg, traîtres ou martyrs ?
Coupables, ont dit les jurés et les juges. Innocents, a répondu l'opinion mondiale. Les historiens américains d'aujourd'hui continuent de s'interroger sur l'affaire Rosenberg.
Coupables, ont dit les jurés et les juges. Innocents, a répondu l'opinion mondiale. Les historiens américains d'aujourd'hui continuent de s'interroger sur l'affaire Rosenberg.
Le Sud ? Ni celui de La Case de l'Oncle Tom, ni celui d'Autant en emporte le vent. Percez l'écran du mythe, comme Dickson D. Bruce*, et vous découvrirez un monde à part, englué dans la violence et l'esclavage mais qui n'agit pas comme ces «brutes de Yankees».
« Ce ne sont pas des nègres comme en Guinée, et ils ont les cheveux flottants », (Christophe Colomb).
Temples de la démocratie pour les uns, du business pour les autres, ils crèvent le ciel américain et paraissent défier les lois de la nature et du temps. Pourtant les gratte-ciel, eux aussi, ont une histoire.
Comment créer de toutes pièces la nation américaine ? Tel fut, au XVIIIe siècle, le problème que Thomas Jefferson, le Virginien, eut à résoudre.
D'une crise à l'autre... Il y a cinquante ans, le krach boursier de Wall Street faisait trembler les assises de l'Occident. D'où venait cette fièvre d'un « jeudi noir » ?
Renégats ou hors-la-loi, coureurs d'aventures, « sauvages blancs », ainsi les Américains nommaient-ils ceux d'entre eux qui, au XIXe siècle, rejoignaient le monde indien. Tous avaient pour ancêtres communs les « coureurs de bois » français qu'attiraient loin de la civilisation coloniale l'appât du gain, certes, mais aussi la griserie de la vie sauvage.
Le 21 juillet 1969, un homme marche sur la Lune : Neil Armtrong, citoyens des Etats-Unis. Que reste-t-il aujourd'hui de cet événement, dix ans après les heures d'intense émotion qui rassemblèrent 600 millions de témoins ?
Emeutes et ségrégation raciales, jazz et retour aux sources afro-américaines : c'est entre ies larmes et le rire que depuis plus d'un siècle se partage l'histoire de Harlem, cette ville blanche devenue un ghetto pour des Noirs qui rêvaient follement de liberté et d'égalité.
Le musée de Sheiburne dans le Vermont confond les objets populaires rachetés dans les fermes des environs et les tableaux européens les plus raffinés. C'est un peu le mémorial du rêve américain.
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