Est-il français ou allemand ?
Depuis le XIIe siècle, France et Allemagne s'appuient sur l'héritage de Charlemagne, chacune à leur façon, mais sans s'affronter. Cela en fait-il pour autant un bon père spirituel pour l'Europe ?
Depuis le XIIe siècle, France et Allemagne s'appuient sur l'héritage de Charlemagne, chacune à leur façon, mais sans s'affronter. Cela en fait-il pour autant un bon père spirituel pour l'Europe ?
Du 17 au 24 novembre, l'Allemagne est au programme du Festival du film d'histoire de Pessac. L'occasion de se plonger dans l'histoire longue du pays, loin des mythes entretenus.
Un quart de siècle après la chute du Mur, comment les mémoires allemandes se situent-elles face à la nation, au nazisme et plus généralement au passé ?
Un chômage stable, des records d'importations, un budget en équilibre... Et si cette réussite devait plus aux points forts traditionnels du pays qu'à la rigueur imposée depuis les années 2000 ?
Après la chute du nazisme, ils furent 7 millions d'Allemands à fuir l'Armée rouge ; 5 autres millions firent l'objet d'un transfert forcé depuis la Pologne, la Tchécoslovaquie ou la Hongrie. Retour sur une expulsion massive, dramatique et ignorée.
L'antisémitisme, le nationalisme et le racisme ne sont pas propres à l'Allemagne des années 1930. Alors comment la nation la plus alphabétisée d'Europe a-t-elle pu donner le pouvoir aux nazis ?
La République parlementaire de Weimar fut, jusqu'en 1929, un régime démocratique efficace. Une expérience radicalement neuve pour les Allemands et non une parenthèse forcément condamnée à l'échec.
Les Allemands sont-ils responsables de la Première Guerre mondiale ? Qu'en est-il vraiment des atrocités commises sur les civils dans les zones occupées ? D'où vient le mythe du « coup de poignard dans le dos » ? Un grand historien allemand répond, à la lumière des dernières recherches, aux questions qui n'ont jamais cessé d'empoisonner l'histoire.
L'Allemagne n'est pas née toute casquée de la volonté de Bismarck en 1871. Un mouvement national, consécutif au choc de la Révolution française, s'affirme tout au long du XIXe siècle.
Le romantisme n'est pas que poésie. Vénération pour le Moyen Age, traditionalisme catholique, exaltation de l'âme du peuple : ce courant philosophique né en Allemagne est souvent décrit comme une réaction à la modernité. Il est aussi l'enfant des Lumières.
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