Ne touchez pas à l'Ambassadeur !
Pour les Romains déjà, porter atteinte à un ambassadeur était un casus belli. Une formule de droit servait même à désigner ce crime.
Pour les Romains déjà, porter atteinte à un ambassadeur était un casus belli. Une formule de droit servait même à désigner ce crime.
Pierre Briant traque chez les érudits des Lumières les images contrastées, voire violemment contradictoires, du conquérant. Passionnant.
Jacques Martin est mort mais pas son héros qui, devenu sénateur, roule désormais pour Auguste.
Un livre récent sur l'origine d'une expression qui prouve surtout... la mauvaise foi des Romains.
Par des voies détournées, il s'emploie à nous faire connaître la religion romaine, si forte, si territoriale et si peu transcendante.
Comment se faire une idée juste de l'opinion publique à Athènes ? Les sources font surgir des figures populaires qui, dans le jeu de la démocratie athénienne, ont pu compter plus qu'on ne croit.
Il a voulu rétablir le paganisme dans l'Empire romain et refermer la parenthèse chrétienne ouverte quelques années plus tôt par Constantin. Un geste qui a donné lieu à de multiples interprétations.
Pour écrire l'histoire de Jérusalem, beaucoup s'appuient sur la seule Bible : un site que David a érigé en capitale de son royaume, où Salomon a édifié le Temple, coeur du premier monothéisme. L'archéologie remet en perspective ce récit. Non sans débats.
Elle est partout et nulle part. Son invention par Hélène l'année du concile de Nicée, en 325, est en tout cas au fondement du destin chrétien de Jérusalem.
Conquise par Alexandre le Grand, Jérusalem vit durant deux cents ans sous domination grecque, sans renoncer à sa religion.
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