Le combat de coqs, une passion grecque
C'est le stratège athénien Thémistocle qui, au Ve siècle av. J.-C., aurait inventé les combats de coqs. Des joutes sanglantes étaient organisées en Grèce ancienne : l'iconographie témoigne de leur popularité.
C'est le stratège athénien Thémistocle qui, au Ve siècle av. J.-C., aurait inventé les combats de coqs. Des joutes sanglantes étaient organisées en Grèce ancienne : l'iconographie témoigne de leur popularité.
Imaginons que Rome ait été sauvé du déclin par un jeune Américain.
Comment l’Égypte pharaonique pouvait-elle imaginer qu’elle allait disparaître ? Un territoire, un système politique, une religion, une écriture quasi immuables... Les Égyptiens eux-mêmes, raconte Jean Yoyotte, étaient persuadés d’être éternels.
Les faits sont là : à la fin du Ve siècle, il n'y a plus d'empereur à Rome ; c'en est fini de l'Empire romain d'Occident. Mais la civilisation gréco-romaine s'est-elle effondrée pour autant ? Non, nous dit Maurice Sartre. Nous en sommes les héritiers directs.
Peut-on comprendre les rêves des Grecs anciens ? Mêlant histoire et psychanalyse, Georges Devereux a proposé il y a trente ans une interprétation fondée sur l'analyse freudienne. Cette approche originale est désormais accessible en français*.
Quelle était la place de Judas auprès de Jésus ? Et par rapport aux onze autres apôtres ? Daniel Marguerat nous décrit ce groupe d’hommes qui accompagna la naissance du christianisme.
Un ensemble de papyrus reliés découverts en moyenne Égypte, qui contient un texte intitulé l’Évangile de Judas... La traduction de ce manuscrit va-t-elle conduire à une réhabilitation de celui qui a livré Jésus ? Les médias n’ont pas hésité à l’affirmer. L’analyse de l’historien.
"De l'Arabie entière s'exhale une odeur divinement suave", disait Hérodote. Au Ier millénaire avant notre ère, l'encens, la myrrhe, l'aloès ont fait la fortune des royaumes d'Arabie du Sud. Grâce à l'archéologie se dessinent les contours d'un commerce de dimension internationale.
Nuages noirs, serpents à trois têtes... Ne craignez pas ces démons qui couvrent les tombes étrusques. On sait aujourd'hui qu'ils annoncent un au-delà bien agréable.
En 64 av. J.-C., Catilina et quelques nobles accablés de dettes prêtent serment de prendre le pouvoir à Rome et de s'emparer des plus grandes fortunes. Sur ce complot dénoncé par Cicéron les plus folles rumeurs ont circulé. Mais la République a bel et bien tremblé.
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