Achab, le roi maudit d'Israël
La Bible est un document historique inégalé. Mais de la Bible à V Athalie de Racine, le roi Achab a été présenté comme un tyran et un impie. Un examen appronfondi permet d'établir une autre version de ce règne décrié.
La Bible est un document historique inégalé. Mais de la Bible à V Athalie de Racine, le roi Achab a été présenté comme un tyran et un impie. Un examen appronfondi permet d'établir une autre version de ce règne décrié.
Sont-ils venus d'Orient ou du Nord? Ont-ils occupé de toute éternité ieur terre nourricière? Les Étrusques ont nourri chez les historiens les théories et les rêves les plus fous.
Athènes passe pour être Je berceau de la démocratie. Pourtant, elle n'a jamais cessé d'honorer des valeurs aristocratiques, teJJe la vertu guerrière. La cité grecque rêvait tout simplement d'une «Athènes irréehe et imaginaire* »...
A quelle date récriture est-elle apparue chez Jes Romains? D'où provient l'alphabet latin qui est encore le nôtre aujourd'hui? Comment fonctionnaient les «écoles primaires»?
Qu'est-ce qu'un « barbare » ? Aujourd'hui le terme est injurieux. Pour les Grecs, le Barbare, c'était tout simplement l'irrationnel, l'excentrique, le rustre « à la parole empâtée ».
Le Chasseur noir. Derrière ce beau titre mystérieux se cache la Grèce ancienne telle que nous la révèle aujourd'hui Pierre Vidai-Naquet*.
Comment calculer l'heure et la latitude quand on ne peut observer que la seule course du soJeiJ dans Je ciel? Les Grecs relevèrent le défi et mirent au point des horloges qui, aujourd'hui encore, étonnent par Jeur ingéniosité.
Le monde romain connaissait le tonneau celte, mais se servait uniquement de l'amphore - récipient économiquement catastrophique pour les transports maritimes d'huiie ou de vin. Une pièce de pius à verser au dossier de la stagnation technique dans J'Empire romain?
Hérodote n'a pas fini de faire parler de lui : aujourd'hui encore, on le tient soit pour le premier historien soit pour menteur. Dans la remarquable étude qu'il vient de lui consacrer, François Hartog démontre l'inanité de ce faux débat*.
1794 : Babeuf prône la collectivisation des terres. Pour exposer son programme, il lance un journal, Le Tribun du Peuple, et change son prénom en Gracchus, renouant ainsi avec des figures légendaires de l'Antiquité romaine: les Gracques... Pourquoi, de l'Antiquité à la Révolution française et, en Russie soviétique, Je mythe des Gracques connaît-il pareil succès ?
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