Qui sont ces Olmèques dont on ignorait tout il y a cinquante ans? Le livre de Jacques Soustelle * nous parle de cette civilisation mexicaine, aujourd'hui encore entourée de mystère, dont l'es premiers vestiges remontent à 1500 av. J.-C.
Depuis une vingtaine d'années, les archéologues cherchent à combler les vides qui séparent sur la cartedes grandes civilisations de l'Orient ancien : Levant, Mésopotamie, Indus. L'étude de ces zones marginales a permis d'enrichir considérablement notre connaissance des grands phénomènes historiques: apparition de l'agriculture et de l'élevage, urbanisation, développement du nomadisme.
Pendant treize siècles, les sables du désert syrien ont conservé cent « Pompéi » aux murs de calcaire fin parmi lesquels se cachent peut-être les ancêtres de nos basiliques romanes...
Depuis 1923, les hypothèses se sont multipliées quant à la mort mystérieuse des archéologues qui ont découvert Toutankhamon. Aujourd'hui, on peut retracer, avec précision, l'histoire de cette étrange malédiction.
Mystère, mystère... L'histoire des Étrusques reste encore dans l'obscurité. Force à l'enquêteur de s'armer de patience et de modestie — comme Moses. I. Finley, pour la mettre au jour.
Occitanie, Bretagne, Nord, Alsace, la région est à l'ordre du jour. Mais Paris, aussi, veut conserver sa mémoire.
Depuis que Bonaparte partit guerroyer en Egypte, nombre de savants français ont attaché leur nom au développement de l'égyptologie. L'Institut français d'archéologie orientale du Caire (IFAO) est, aujourd'hui, le dépositaire de cette tradition marquée par les noms de ChampoIlion, Mariette, Maspéro.
En Gaule, après la conquête romaine, un nouveau type d'habitat rural s'impose : la villa, construction maçonnée aux nombreux ravinements architecturaux. Mieux que dans les monuments prestigieux des villes, ne peut-on voir dans cet habitat le symbole de la réussite romaine en Gaule ? C'est ce que nous invite à admettre un ouvrage récent de Roger Agache*.
