Une société de plaisirs
Fastueuses fêtes de la cour du Roi-Soleil.
Fastueuses fêtes de la cour du Roi-Soleil.
Alors que le XVe siècle est celui des visages lisses, le XVIe siècle voit les courtisans remettre pour un siècle la barbe à la mode.
Le réalisateur Albert Serra filme les trois semaines d'agonie d'un Louis XIV magnifiquement interprété par Jean-Pierre Léaud dans La Mort de Louis XIV (en salles le 2 novembre 2016). On y découvre l'impuissance des médecins et le théâtre de la Cour. Loin des préoccupations politiques qui ont pourtant habité le roi jusqu'à sa mort le 1er septembre 1715.
Au temps de François Ier, la musique est partout : à l'église, avec les chants sacrés, dans les maisons bourgeoises et à la Cour où les musiciens de la Chapelle et de la chambre du roi président aux fêtes.
L'art de la table sous François Ier ne doit pas grand-chose à l'Italie. Mais beaucoup à l'art de mettre en scène la puissance du roi.
« Machiavel de la vie pratique », le jésuite espagnol a livré un art de se gouverner soi-même en plein Siècle d'or.
Objet de propagande politique, de réflexion sociale et, plus concrètement, de conquête et de conservation du pouvoir, la famille joue un rôle primordial dans le gouvernement de Charlemagne.
Les fêtes somptueuses organisées par les ducs de Lorraine rivalisent avec celles des plus grands princes d'Europe. Ces cérémonies n'ont rien d'improvisé. Le destin de la province en dépend.
Reine de France puis d'Angleterre, mère de dix enfants, femme de pouvoir et d'intrigues... Aliénor d'Aquitaine a tout pour fasciner. Mais qui était vraiment cette reine dont l'existence semble résumer l'Empire plantagenêt ?
Les repas princiers à la Renaissance : des spectacles politiques, comme on peut le découvrir au château de Blois.
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