Débarquement

Les malentendus transatlantiques

Le 6 juin 2004, George W. Bush assistera aux célébrations normandes : un signe infaillible du réchauffement transatlantique. Depuis soixante ans, en effet, la commémoration du Débarquement constitue un enjeu diplomatique entre Washington et Paris.

Pourquoi Rommel n'était pas là

Depuis 1942, les Allemands avaient entrepris de fortifier la façade atlantique. Région placée sous le commandement des deux plus prestigieux maréchaux de l'armée : Rundstedt et Rommel. Alors, comment expliquer leur surprise le 6 juin ?

L'épopée de l'armée de Lattre

Complément indispensable au débarquement allié en Normandie, celui des côtes méditerranéennes visait à prendre les Allemands en tenailles. Les troupes françaises s'y sont particulièrement illustrées, sous la direction d'un chef d'exception : le général Jean de Lattre de Tassigny.

La défaite du maquis de Saint-Marcel

En juin 7 944, les Alliés larguent 500 parachutistes français sur deux bases bretonnes : le village de Saint-Marcel, dans le Morbihan, devient un véritable camp retranché, défendu par 2 400 hommes. Attaqué par les Allemands, il tombe au soir du 18 juin. Mais il aura facilité la fusion entre les parachutistes et les combattants de l'intérieur.