Lawrence et le rêve arabe
Dans Les Sept Piliers de la Sagesse, Lawrence d'Arabie a su imposer une image flatteuse de lui-même. Suleiman Mousa en dresse ici un portrait sans retouches.
Dans Les Sept Piliers de la Sagesse, Lawrence d'Arabie a su imposer une image flatteuse de lui-même. Suleiman Mousa en dresse ici un portrait sans retouches.
Walter Laqueur vient de publier en anglais un livre choc. En historien, il répond à des questions simples : pourquoi les informations sur la Solution finale parvenues aux États-Unis ou en Angleterre ont-elles été accueillies avec tant de réticences ? Pourquoi a-t-on même cherché à les étouffer ?
Qui connaît aujourd'hui Marian Rejewski ? Ce mathématicien polonais, révèle l'historien belge Jean Stengers, contribua pourtant à la défaite des puissances de l'Axe en décryptant, dès les années trente, le chiffre des messages codés nazis. Les Américains lui doivent sans doute la victoire décisive de Midway.
A partir de 1950, en pieine « guerre froide », la peur d'une subversion communiste généraiisée s'empare des États-Unis. Comment Joseph McCarthy, modeste sénateur du Wisconsin, politicien roublard, bagarreur, buveur et joueur de poker, a-t-il réussi à provoquer un tel mouvement d'opinion ?
Coupables, ont dit les jurés et les juges. Innocents, a répondu l'opinion mondiale. Les historiens américains d'aujourd'hui continuent de s'interroger sur l'affaire Rosenberg.
Ancien élève de Cambridge, Kim Philby est le parfait diplomate britannique, jusqu'à ce qu'il passe à l'Est en janvier 1963 comme Burgess et Maclean douze ans auparavant. Une affaire d'espionnage unique puisqu'elle témoigne, selon Maureen McConville, de la génération intellectuelle des années trente qui crut à l'avenir du communisme.
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