John le Carré : l'écrivain qui venait de la guerre froide
La guerre froide fut l'âge d'or du roman d'espionnage qu'il éleva au grand art. La preuve avec L'Héritage des espions.
La guerre froide fut l'âge d'or du roman d'espionnage qu'il éleva au grand art. La preuve avec L'Héritage des espions.
Adapté du film de Carol Reed Le Troisième Homme.
Une exposition aux Archives nationales nous invite à explorer la face cachée de l'État, en France, depuis Richelieu. Son commissaire nous explique comment la République a édifié des services de renseignement modernes. Une menace en démocratie ? Ou une nécessité ?
Rois, villes et grands cherchent par tous les moyens à s'informer sur leurs ennemis, mais aussi à légitimer leurs actions auprès de la population. Espions, crieurs publics, prêcheurs se sont multipliés durant le conflit.
Portrait de Richard Sorge, journaliste allemand et agent secret soviétique.
Philippe Oriol a repris le dossier de l'affaire Dreyfus. Il y a encore des surprises.
Aux XVIe et XVIIe siècles, la France était un véritable nid d'espions au service de l'Espagne ! Alain Hugon a enquêté sur ces informateurs - secrétaires, négociants, etc. - bien renseignés*.
Il fut sans doute le plus grand espion du XXe siècle. C'est Richard Sorge qui en 1941 informa Moscou de l'imminence de l'attaque allemande. Et pourtant, Staline refusa de croire cet agent alcoolique et amateur de femmes. Démasqué par les nazis, Sorge a été pendu en 1944.
Savoir dissimuler la teneur d'un message à ses ennemis est une nécessité de la guerre comme de la diplomatie. Une exposition à Saint-Omer dévoile les secrets des langages codés*.
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