Dans l'intimité des Grecs
Homosexuels, les Grecs ? La question semble aujourd'hui surannée. Mais elle a ouvert la voie à une histoire sans préoccupations morales ni tabous, faite de corps, de genre, de sexe et d'émotion.
Homosexuels, les Grecs ? La question semble aujourd'hui surannée. Mais elle a ouvert la voie à une histoire sans préoccupations morales ni tabous, faite de corps, de genre, de sexe et d'émotion.
Dans un style vif et simple, le biologiste néo-zélandais Armand Marie Leroi nous entraîne sur les pas d'un Aristote dépeint en zoologue féru d'observations, qui continue de stimuler la recherche même par ses erreurs.
En Grèce antique, le mendiant est considéré comme responsable de sa déchéance. Si cette figure est répulsive, c'est qu'elle renvoie à deux peurs fondamentales : la précarité matérielle et l'isolement social.
Décédé le 26 décembre 2016, ce professeur émérite à l'université Paris-X-Nanterre, spécialiste de la poésie grecque tardive, était aussi un excellent connaisseur du monde turc et de l'Asie centrale. Et depuis trente-cinq ans, un fidèle contributeur de L'Histoire*.
En 1923, à l'issue de la guerre entre la Turquie et la Grèce, le transfert obligatoire de plus de 1,5 million de personnes est légalisé sur la base de leur appartenance ethnique. Un tournant dans le droit international.
Une analyse inédite des usages qui ont été faits, en Occident, de l'Antiquité, et plus particulièrement de la cité grecque.
Du 5 au 21 août 2016 se déroulent à Rio de Janeiro les XXXIe Jeux de l'ère moderne. L'occasion de revenir sur la place que tenaient, dans la cité grecque, ces héros qui remportaient tous les concours.
A Athènes au Ve siècle av. J.-C., des millions de vases à figures noires et rouges ont été fabriqués. Les scènes représentaient le plus souvent la vie quotidienne ou des épisodes mythologiques. Non sans humour, pour qui sait les regarder. Étude de cas.
Si notre sensibilité s'offusque des abandons d'enfants, le procédé était courant dans l'Antiquité, qu'il s'agisse de héros mythologiques ou de bébés en surnombre.
Peuple du droit, les Romains ont façonné de manière pragmatique l'institution familiale. Un Romain pouvait ainsi bouleverser sa filiation biologique en adoptant son petit-fils.
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