Le tour du monde d'un génie
Du Honduras au Vietnam, Hugo est partout objet d'admiration. Un symbole de liberté, de justice et d'humanisme, qui a dépassé la figure de l'écrivain.
Du Honduras au Vietnam, Hugo est partout objet d'admiration. Un symbole de liberté, de justice et d'humanisme, qui a dépassé la figure de l'écrivain.
En exil à Guernesey, Victor Hugo vécut à Hauteville House. Une maison qu'il aménagea jusque dans les moindres détails. Visite guidée.
En 1848, Hugo s'écarte de la droite. La bataille contre la misère est l'enjeu du débat.
Garde des Sceaux, Robert Badinter faisait voter, en 1981, l'abolition de la peine de mort en France. Ce jour-là, il rendit hommage à Victor Hugo. Qui mena un combat sans relâche contre l'injustice et la barbarie.
Au temps où Victor Hugo était un jeune poète, il fréquentait assidûment le salon de Charles Nodier, un des hauts lieux du romantisme parisien...
C’est un fait acquis. Victor Hugo est le républicain exemplaire. Rien ne prédisposait le jeune poète royaliste à un tel destin politique. Né avec le siècle, c’est dans les bouleversements du printemps 1848 qu’il s’ouvre à la république. Avant de devenir, dans l’exil et l’opposition inflexible à Napoléon III, la parfaite incarnation du peuple souverain.
Dès 1905, Notre-Dame de Paris était adapté au cinéma.
Comédiennes ou bonnes, figures célèbres ou inconnues : Hugo a accumulé les maîtresses. Les carnets dans lesquels il consignait la moindre de ses aventures en témoignent. Mais quelle place les femmes occupaient-elles dans sa vie ? D'Adèle son épouse à Jeanne sa petite-fille, en passant par la fidèle Juliette Drouet, indéfectible amante en titre, un panorama de celles qui ont le plus compté.
Victor Hugo, au long des douze mille pages de son oeuvre, a touché avec plus ou moins de génie à tous les genres littéraires de son temps : théâtre, récit de voyage, roman, pamphlet... Avec toujours la plus haute idée de sa mission : devenir le guide de l'humanité en marche.
Qui osera parler contre Hugo ? Le républicain exemplaire, le grand abolitionniste, le défenseur des opprimés semble faire l'unanimité. Pourtant, dans un pamphlet aujourd'hui bien oublié publié au lendemain de la mort de l'écrivain, «La légende de Victor Hugo», le socialiste Paul Lafargue 1842-1911 critiquait avec virulence ce bourgeois enrichi qui osait parler au nom des pauvres. Extrait.
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