Samory, le Vercingétorix africain
« Vercingétorix africain » pour les uns, « Samory le sanglant » pour les autres... L'épopée d'un colporteur, rendu célèbre par sa défaite, qui voulait reconstituer un grand empire africain.
« Vercingétorix africain » pour les uns, « Samory le sanglant » pour les autres... L'épopée d'un colporteur, rendu célèbre par sa défaite, qui voulait reconstituer un grand empire africain.
Le calife al-Hâkim est aussi célèbre que mystérieux. Célèbre pour avoir détruit le Saint-Sépulcre, persécuté les Chrétiens et suscité la religion druze. Mystérieux à cause de la démence qui l'habitait. Christian Décobert a reconstitué pour nous le profil d'un personnage qui soulève encore les passions au Proche-Orient.
De l'époque des Croisades au XXe siècle, le mot de « Palestine » a été ignoré de tous les habitants de la Terre sainte, qu'ils fussent musulmans, chrétiens ou juifs. D'où vient-il, ce nom qui fait couler aujourd'hui tant de sang et de larmes ? Bernard Lewis* nous raconte son histoire.
Dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954 une série d'attentats éclate en Algérie. La surprise est totale. L'Algérie ne donne-t-elle pas l'impression d'une région calme ? Pourtant, c'est bien à la « Toussaint rouge », il y a trente ans, que tout a commencé.
Un jour de 1658, un certain François Bernier arrive en Inde occidentale dans ce qui est, à Pépoque, l'Empire moghol. Il y reste huit ans et apprend le persan. Son récit jette une lumière crue sur la cour de Delhi et sur un monde violemment divisé entre hindous et musulmans.
En 1884 mourait Ismaïl Urbain. Cent ans après sa mort, des papiers inédits* nous aident à comprendre l'étrange itinéraire de ce saint-simonien converti à l'Islam, qui rêvait de réconcilier les races et les civilisations.
Les épices et les parfums de TOrient... Les marchandages, les roueries des humbles... Qu'est-ce qui se cache derrière ces images conventionnelles et fascinantes ?
« Renouveau musulman »... « mouvement islamiste »... Qu’y a-t-il derrière ces mots ? L’alliance complexe de la foi, de la tradition et de la misère. Gilles Kepel examine ici les racines et le terreau d’un mouvement qui ébranle le monde.
En 1351 Ibn Batouta quitte Fès pour le Mali. Ses descriptions de voyageur curieux, naïf, râleur et plein d'humour restent un témoignage incomparable sur la vie quotidienne en Afrique au Moyen Age.
Les ruelles étroites, les cafés maures, les odeurs fortes, les bordels, Jean Gabin dans « Pépé le Moko », la bataille d'Alger... Au-delà des souvenirs exotiques et tragiques de la Casbah, il y a le dernier carré d'une ville corsaire. Tout ce qui reste d'Alger d'avant la conquête française.
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