Une vieille dame du football : la Juventus
Les tifosi italiens fêtent cette année les cent ans de leur club fétiche : la Juventus de Turin. En un siècle, il s'est bâti un destin extraordinaire.
Les tifosi italiens fêtent cette année les cent ans de leur club fétiche : la Juventus de Turin. En un siècle, il s'est bâti un destin extraordinaire.
Deux secousses sismiques, survenues a neuf heures d'intervalle, provoquent des dégâts considérables dans la magnifique basilique d'Assise. Un désastre imprévisible ? La région n'en était pourtant pas à son premier tremblement de terre.
A Milan, au début du xvne siècle, une terrible épidémie de peste fait des milliers de victimes. La panique s'empare des habitants, qui cherchent des « responsables », en trouvent et les mettent à mort. Qui étaient ces prétendus empoisonneurs ? A quels motifs étaient-ils censés obéir ? Leur portrait nous renseigne sur les hantises et les fantasmes des hommes de l'époque face à la maladie et à la mort.
La France de la Renaissance, puis celle du Grand Siècle, ont été italiennes : ingénieurs, artistes, financiers, maîtres d'armes, chirurgiens réputés venaient alors de la Péninsule. Us ont fait bénéficier la monarchie de leurs talents et de leurs compétences. Une immigration réussie... Et décriée par des pamphlets xénophobes. Un livre retrace, au plus près des archives, ces étonnantes aventures individuelles*.
Sparte la vertueuse, Athènes la démocrate, Rome la républicaine... Au xvnr siècle, l'histoire de l'Antiquité offre d'abord un modèle de réflexion politique. Et puis vinrent les découvertes de l'archéologie, les corps calcinés de Pompéi, les fresques d'Herculanum. Et le mythe dut bien céder devant la réalité. C'est ce que révèle une thèse récente*.
En quelques années, s'inspirant du modèle français, imposant a tous une même langue, une même armée, une même administration et un même art national, la Maison de Savoie a tenté de faire de la péninsule un pays, et de ses habitants des Italiens. Pourtant, aujourd'hui, l'écho des revendications séparatistes de la Ligue lombarde met en évidence la fragilité de l'édifice national italien.
La Première Republique italienne fete ce mois-ci ses cinquante ans. Celle qui connaît enfin l'alternance, après les scandales financiers à répétition et la crise du parlementarisme, a failli ne jamais voir le jour...
Les habitants de l'Etrurie formaient, selon les Romains, « la nation la plus religieuse au monde ». Car ils étaient détenteurs d'une science qu'aucun autre peuple de l'Italie ne partageait avec eux : ils savaient lire l'avenir et comprendre la volonté des dieux.
Récement rééditée, la chronique du franciscain italien Salimbene, à mi-chemin des «Confessions» de saint Augustin et des «Essais» de Montaigne, nous offre un témoignage irremplaçable sur la vie quotidienne des hommes du Moyen Age*.
Les architectes italiens de la Renaissance ont avant tout cherché à servir la gloire de leurs princes. Et inventé, par là même, une nouvelle forme d'art, universel, idéal, où les talents du peintre et du dessinateur le disputent à ceux de l'ingénieur et de l'urbaniste.
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