1905-1945 : Sous le joug japonais
La longue période de présence japonaise dans la péninsule coréenne a développé une forme de colonisation assez singulière. Elle a laissé des traces durables dans la société et dans le territoire du pays.
La longue période de présence japonaise dans la péninsule coréenne a développé une forme de colonisation assez singulière. Elle a laissé des traces durables dans la société et dans le territoire du pays.
Ils apprenaient à vaincre la peur de la mort. Protégés par leurs armures, dont on peut voir des chefs-d'oeuvre au Quai Branly.
On s'est étonné de l'importance du nucléaire civil dans le seul pays frappé par la bombe atomique. Pour élucider cet apparent paradoxe, il faut comprendre les relations qu'entretiennent les Japonais avec Hiroshima.
Ce distingué médiéviste s’est donné un objectif : sortir le Japon des stéréotypes. Et démontrer qu’on peut être moderne sans être occidental.
Le hara-kiri, ou seppuku, est magnifié comme la manifestation la plus haute du sens de l'honneur des guerriers japonais. Une mythification d'une forme de suicide qui n'était souvent qu'une exécution en règle.
Après soixante ans de domination, le parti conservateur japonais a été défait. C’est la fin d’une époque.
La Constitution de 1947 interdit au Japon le droit à la guerre. Pas si simple.
En 1600, la bataille de Sekigahara permet d’unifier l’archipel et met fin au long Moyen Age japonais. Le pays passe, pour deux cent cinquante ans, sous la coupe de la dynastie des Tokugawa.
Poussière d’îles, soumis aux tremblements de terre, aux tsunamis, aux typhons, surpeuplé dit-on, le Japon a-t-il été handicapé par sa géographie ?
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