Moi, Bruno, égorgeur d'enfant
Vincent Le Port porte à l'écran le parcours d'un jeune homme du Cantal qui commit un meurtre de sang-froid au début du XXe siècle.
Vincent Le Port porte à l'écran le parcours d'un jeune homme du Cantal qui commit un meurtre de sang-froid au début du XXe siècle.
En imposant son puissant chancelier comme archevêque de Cantorbéry, Henri II n'imaginait pas qu'il allait se muer en inflexible défenseur de l'Église d'Angleterre. Le clerc le paya de sa vie, dans sa cathédrale, le 29 décembre 1170.
En mai 1885, à Genève, une mère égorge ses quatre enfants puis tente de se suicider. Menant au procès de la folie homicide, l'affaire Lombardi illustre un tournant dans l'histoire judiciaire.
L'explorateur James Cook découvre les îles Hawaii en 1779. Y est poignardé, puis découpé en morceaux... après avoir été accueilli comme un dieu ! Les Hawaiiens ont-ils vraiment confondu un capitaine anglais avec une divinité locale ? Sur fond de « politiquement correct », la controverse fait rage aux États-Unis.
Le 16 décembre 1909, on retrouve sur une voie ferrée le corps affreusement mutilé d'une femme. Elle a été assassinée dans le train 826qui reliait Montargis à Paris. Le fait divers prend aussitôt, dans la presse de l'époque, une dimension exceptionnelle. Car il symbolise à merveille les angoisses et les obsessions de l'opinion publique.
Que sait-on de Landru, si ce n'est qu'il assassina dix femmes entre 1915 et 1919 ? Pierre Darmon a consulté les archives du criminel le plus célèbre du XXe siècle. Un prodige d'organisation et de méthode...
L'assassinat d'Henri IV, le 10 mai 1610, clôt un grand cycle de violence contre la puissance du roi. Ce cycle avait débuté, en France, dans les dernières décennies du xvie siècle. Avant Henri IV, Henri III avait été, lui aussi, victime d'un fanatique : comme François Ravaillac en 1610, Jacques Clément en 1589 avait cru accomplir la volonté de Dieu. A l'origine de ces meurtres : la lutte entre catholiques et protestants. Pour la comprendre, il faut remonter en août 1572, au massacre de la Saint-Barthélemy.
L’assassinat d’Henri IV, le 14 mai 1610, clôt un grand cycle de violence contre la puissance du roi. Ce cycle avait débuté, en France, dans les dernières décennies du XVIe siècle. Avant Henri IV, Henri III avait été, lui aussi, victime d’un fanatique : comme François Ravaillac en 1610, Jacques Clément en 1589 avait cru accomplir la volonté de Dieu. A l’origine de ces meurtres : la lutte entre catholiques et protestants. Pour la comprendre, il faut remonter en août 1572, au massacre de la Saint-Barthélemy.
En 1462, le valet de chambre du duc de Bourgogne, Philippe le Bon, a tenté d empoisonner lefils de son maître, Charles le Téméraire. Sans doute sur ordre d'une des plus puissantes familles du duché. Le roi de France, Louis XI, fut-il aussi, comme le crurent les contemporains, mêlé à l'affaire ?
Les Guises en 1588, Henri III en 1589, Henri IV en 1610, Concini en 1617. En trente ans, la France a connu cinq assassinats politiques. Chaque exécution s'accompagnait d'un étonnant et complexe rituel. L'Américain Oreste Ranum a voulu savoir pourquoi.
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