Saint Dominique, « le mal-aimé »
Saint Dominique a mauvaise réputation. Deux recherches* récentes modifient complètement l'image de celui que l'on continue de considérer - à tort - comme le « terrible fondateur de l'Inquisition ».
Saint Dominique a mauvaise réputation. Deux recherches* récentes modifient complètement l'image de celui que l'on continue de considérer - à tort - comme le « terrible fondateur de l'Inquisition ».
L'enthousiasme de saint Bernard était communicatif. Par son fameux sermon de Vézelay, il poussa, en 1146, des milliers de gens dans l'entreprise désastreuse de la Deuxième Croisade.
L’enthousiasme de saint Bernard était communicatif. Par son fameux sermon de Vézelay, il poussa, en 1146, des milliers de gens dans l’entreprise désastreuse de la Deuxième Croisade.
Prendre l'Évangile au pied de la lettre, telle fut l'originalité profonde du «Pauvre» d'Assise dont on célèbre le huitième centenaire. Mais comment ce personnage d'origine obscure a-t-ii pu marquer aussi profondément l'Occident?
Divertir, instruire, révéler l'« invisible-divin ». Mais aussi chercher les traces du passé et critiquer les sources. L'historien du Moyen Age : un « collègue » ! dit Bernard Guenée*.
Il y a quatre cents ans naissait saint Vincent de PauJ. Les philanthropes et Jes manueis scolaires ont réussi à faire du « Grand Saint du Grand Siècle» un homme bienfaisant, utile, une sorte de ministre de l'Assistance publique. Que cette laïcisation ne fasse vas oubiier l'essentiel: Monsieur Vincent cherchait d'abord le salut éternel des pauvres.
Pourquoi, depuis 1 500 ans, les moines d'Occident suivent- ils la règle de saint Benoît ? Parce qu'elle respecte la diversité de chaque communauté. La seule façon d'expliquer, d'après André Vauchez, cet étonnant succès.
Par l'expulsion des jésuites, décidée il y a cent ans, la IIIe République ne s'acharnait pas gratuitement sur un vieil adversaire ; elle affirmait son identité idéologique: à défaut de République sociale, naîtrait une République laïque.
A Orléans, le 8 mai est l'occasion d'une ultime « Union Sacrée » : l'Église et l'État se donnent la main en une procession qui évoque les traditions du Moyen Age.
L'informatique en histoire permet aujourd'hui de faire revivre les moments de la vie d'une institution, telle l'abbaye médiévale de Fulda, ici analysée par Michel Parisse.
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