La bécane à Deibler
Histoire d'une famille presque comme les autres : les Deibler, une dynastie de bourreaux entre 1825 et 1939.
Histoire d'une famille presque comme les autres : les Deibler, une dynastie de bourreaux entre 1825 et 1939.
« Je suis citoyen romain ! » Par ce cri, lui assurant une comparution devant le peuple, un accusé peut, dans la Rome républicaine, espérer éviter la peine capitale.
On garde en mémoire les fusillés de la Grande Guerre, 600 exécutions du côté français. Mais la justice militaire s'est mise en place dès la Révolution.
Durant treize jours, Ravaillac est soumis à la question par ses juges : pourquoi a-t-il commis cet acte « exécrable » ? A-t-il des complices ? Au plus près des documents originaux, voici les aveux d’un régicide.
Les procès de Moscou restent le symbole de la répression stalinienne. Derrière ces grandes purges se cache cependant une opération d'une tout autre ampleur, demeurée secrète pendant soixante ans : l'exécution de 750 000 Soviétiques.
Le film de la pendaison de Saddam Hussein, le 30 décembre 2006, a été montré dans le monde entier. Si le spectacle de l’exécution du tyran n’a rien de neuf, ce qui l’est, c’est son mode de production et de diffusion. Décryptage.
5 janvier 1757 : alors que Louis XV monte dans son carrosse, un inconnu le poignarde... La blessure n'est que superficielle, mais la personne sacrée du roi a été atteinte. Damiens subira le pire des supplices : l'écartèlement.
"Afin de faire respecter nos lois, commençons par faire respecterla religion. " "L'attentat déicide " est plus grave que le meurtre d'un père...Sommes-nous dans l'Iran des ayatollahs ? Non, en France, en 1825, où est votéeune loi sur le sacrilège visant à punir le vol et la profanation des objets duculte.
Dites « supplice... », un Français ajoutera presque immanquablement « chinois ». Pourquoi ? Le « supplice » est-il un fait de la réalité chinoise ou une chimère exotique dans le goût de la Belle Époque pour les spectacles d'horreur ?
En 1943, dans la France de Pétain, une femme est guillotinée. Marie-Louise G. est convaincue d'avoir pratiqué près de 30 avortements à Cherbourg. Les archives judiciaires révèlent pourquoi, parmi des milliers d'avorteuses, c'est elle que le régime de Vichy a choisi de condamner à mort.
En poursuivant votre navigation sur les sites du groupe Sophia Publications, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des services et contenus personnalisés.