Régence

La fausse révolution du Régent

Les légendes vont bon train sur Philippe d'Orléans, le Régent libertin, immortalisé par le film de Bertrand Tavernier Que la fête commence ... Mais une des plus tenaces est sa réputation de prince libéral, venue d'une expérience politique singulière : la polysynodie.

Comment le pouvoir vient aux reines

« Je n'ai point été roi mais j'ai aimé à faire des rois et à leur commander. » Cette épitaphe injurieuse circulant à la mort de Catherine de Médicis rend compte de la situation paradoxale des reines de France. A la fois sujettes et souveraines, épouses et mères de rois, elles incarnent la gloire de la royauté. Tout en étant maintenues fermement à l'écart du pouvoir. Avec une exception de poids : la régence.

« Le bossu » ou la régence en folie

Philippe de Broca porte à l'écran « Le Bossu », célèbre roman-feuilleton de Paul Féval, paru dans « Le Siècle » en 1857. Une dénonciation des égarements financiers de la Régence, alors que la fièvre boursière imprimait sa marque au Second Empire*.

Le régent, ses ministres et ses courtisans

La Régence, entre les règnes de Louis XIV et de Louis XV, reste avant tout evocatrice de fête galante, mais aussi de corruption, de désordre politique et monétaire. Pourtant, c'est à cette époque que la France opère son rétablissement financier et son redémarrage économique. Grâce à une forme originale de gouvernement qui fut une éphémère mais authentique expérience libérale.