Tous unis derrière l'empereur ?
Dès les années 1930, le pouvoir japonais met en place des institutions pour contrôler efficacement la population. Celle-ci a-t-elle aveuglément suivi le régime dans sa militarisation à outrance ?
Dès les années 1930, le pouvoir japonais met en place des institutions pour contrôler efficacement la population. Celle-ci a-t-elle aveuglément suivi le régime dans sa militarisation à outrance ?
Avec les deux guerres du Golfe, l'embargo déclaré de 1991 à 2003 par l'ONU et la guerre civile de 2005 à 2008, le paysage de Bagdad a été lourdement affecté. Surtout, ces événements ont conduit à un exode massif des classes moyennes, bouleversant la vie citadine.
Avant de sombrer dans la dictature et dans la guerre, Bagdad a été, depuis les années 1920, une ville dynamique et cosmopolite qui a joué un rôle central dans l'élaboration de la modernité au Moyen-Orient.
Cinquante après sa mort, l'oeuvre et la personnalité de l'architecte Le Corbusier font encore débat.
Contrairement à ses dirigeants, le pays reste profondément pacifiste.
« Plus jamais la guerre ! » C'est en 1999 que, pour la première fois depuis 1945, l'Allemagne a envoyé des troupes à l'étranger, au Kosovo. Non sans débats déchirants, tant le mouvement pacifiste est fort et ancien dans ce pays qui se méfie de ses démons.
Dans la nuit du 29 au 30 septembre 1938 à Munich, les Européens cédaient les Sudètes à Hitler pour sauver la paix. Ils eurent le déshonneur et la guerre. Le pacifisme ne s'en relèvera pas.
La politique de rapprochement franco-allemand des années 1920, incarnée par Aristide Briand, s'est brisée sur la folie meurtrière des nazis. Mais était-elle pour autant une aberration ?
Il y a cinquante ans se clôturait Vatican II, le grand concile ouvert par le pape Jean XXIII en 1962. Il est resté dans les mémoires comme le grand aggiornamento de l'Église catholique : fin de la messe en latin, promotion de l'oecuménisme. Il est aussi à l'origine d'une vague catholique de gauche inédite en Europe occidentale. Et qui a laissé des traces profondes.
La majorité des sept à huit millions d'Arméniens vivent aujourd'hui hors de la république d'Arménie. De cette diaspora, la mémoire du génocide est devenue le principal élément fédérateur.
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