Résistants de tous pays, levez-vous !
Avec Les Combattants de l'ombre, Bernard George dresse un portrait de la résistance au nazisme à l'échelle européenne.
Avec Les Combattants de l'ombre, Bernard George dresse un portrait de la résistance au nazisme à l'échelle européenne.
La fondation de partis communistes dans toute l'Europe n'a été qu'une étape. Dès 1924, Moscou impose la « bolchevisation » : les PC obéiront désormais aveuglément aux directives de l'Union soviétique.
Cent récits, dits en dix jours par dix voix, alors que sévit la Peste noire : le Décaméron de Boccace a séduit toute l'Europe. Jusqu'à Chaucer.
C'est au XIVe siècle qu'est né le groupe des princes du sang. Et avec lui l'idée que vertus ou vices pouvaient se transmettre de façon « héréditaire ».
L’expression sonne avec l’évidence des catégories scolaires. Pourtant, les « Grandes Découvertes » sont une construction du XIXe siècle, au temps où l’Europe était sûre d’elle-même. Une page de notre histoire qui mérite d’être explorée avec un regard neuf.
Ils n'étaient sans doute que quelques dizaines de milliers. Incursions successives ou migrations diffuses qu'on repère entre le IIe et le Ve siècle, les mouvements de ces peuples que les Romains disaient barbares ont pourtant abouti à un profond remaniement de la carte géopolitique de l'Europe.
Au XIXe siècle, ce sont les Européens qui émigrent. En un siècle, 55 millions d'entre eux ont quitté le continent. Vers les États-Unis, le Canada, l'Océanie, l'Argentine ou le Brésil pour l'essentiel.
Quel est l'apport des Arabes dans la transmission de la pensée grecque à l'Occident ? Au-delà des polémiques, Gabriel Martinez-Gros nous délivre une belle leçon d'histoire culturelle. En 2008, le livre Aristote au Mont-Saint-Michel de Sylvain Gouguenheim, professeur à l'École normale supérieure de Lyon, créait la polémique. Il remettait en cause une idée admise par les historiens selon laquelle la science grecque avait été transmise au Moyen Age à l'Occident grâce aux Arabes, eux-mêmes grands traducteurs du grec. Rappelant que l'Occident n'a jamais perdu le contact avec ses racines antiques grâce à des foyers intellectuels comme le Mont-Saint-Michel, actif centre de traduction du grec, l'auteur réduit à presque rien l'apport des Arabes. Il conclut même que les Arabes n'auraient rien fait eux-mêmes de cet héritage tant il leur était inassimilable. Cette thèse a été combattue avec force. Un an plus tard, un grand colloque à l'ENS-Lyon a fait le point sur la transmission des savoirs entre philosophie antique, Islam et Occident.
Lorsque le calvinisme surgit en Europe dans les années 1540-1550, le continent est déjà divisé entre catholiques et luthériens. La nouvelle confession relance la logique d’affrontement.
Légions rouges, terreur blanche et corps francs : la guerre n'est pas finie sur le Vieux Continent.
En poursuivant votre navigation sur les sites du groupe Sophia Publications, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des services et contenus personnalisés.