Ces Irlandaises au drapeau vert
Connaissez-vous Constance Markievicz ? Avant Bernadette Delvin et les militantes nationalistes, elle appela, au début de ce siècle, les Irlandaises à la lutte de libération nationale.
Connaissez-vous Constance Markievicz ? Avant Bernadette Delvin et les militantes nationalistes, elle appela, au début de ce siècle, les Irlandaises à la lutte de libération nationale.
« Ah! ça ira, ça ira... » chantaient les femmes de 1789. Oui, mais jusqu'où ? En fait d'émancipation féminine, la Révolution resta chiche.
Voici juste cent ans, une revue frivole, La Vie parisienne, commençait à publier les œuvres légères et parfois scandaieuses d'une certaine Gyp. Ses Mémoires retiennent aujourd'hui l'attention par les multiples renseignements qu'ils donnent sur les personnalités marquantes de la IIIe République.
Navigateurs, explorateurs, savants, tous décrivent avec force détails hommes-marins et femmes-poissons. Pour expliquer cette étrange croyance, il a fallu attendre les anatomistes du XIXe siècle. Leur verdict est surprenant.
La récente étude d'Yves Castan* apporte de nouvelles pièces au dossier : la sorcière était-elle la servante du diable, une femme en révolte ou le bouc émissaire de la Réforme catholique?
800 000 pianos sont produits annuellement dans le monde, mais en France une seule maison en construit encore. En 1847, à l'apogée de la période artisanale, le nombre des facteurs français approchait les deux cents, et la seule firme Pleyel sortait annuellement plus de 25 000 pianos à la fin du siècle. Pourquoi cette vogue passée ?
La femme au Moyen Age était-elle le symbole de l'assujettissement ou le parangon de l'épanouissement ? Deux études récentes* nous rappellent que l'histoire des femmes au Moyen Age reste encore à écrire...
A faire l'histoire de la médecine du côté des patients, comme le propose une récente rencontre sur « la médicalisation en France (XVlIle-XXe siècles) », on découvrira le rôle des guérisseurs et autres remèdes de « bonne femme ».
Il est courant de dire qu'il n'y a pas d'enfants au Moyen Age mais seulement des petits adultes et que, dans la mentalité médiévale, le sentiment de l'enfance est inconnu. Est-ce si vrai ?
Étrange anticléricalisme que celui de nos aïeux du siècle dernier ! José Cabanis vient de rappeler, dans une étude sur Michelet, le prêtre et la femme (Gallimard), combien les libres penseurs redoutaient le pouvoir du confessionnal. Les archives témoignent qu'ils attendaient, de l'examen de conscience de leurs filles et épouses, le respect de la morale sexuelle.
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