La ville sainte des trois religions
Pour les hommes du Moyen Age, chrétiens, mais aussi Juifs et musulmans, Jérusalem est d'abord un lieu saint.
Pour les hommes du Moyen Age, chrétiens, mais aussi Juifs et musulmans, Jérusalem est d'abord un lieu saint.
Tous les ans, au mois de septembre, le petit village d Ahse-Sajnte-Reine, en Bourgogne fait l'objet de festivités particulières. On y célèbre le martyre de Regina, l'une des premières chrétiennes de Gaule.
Pèlerins, marchands, diplomates, archéologues : tout au long du xrxe siècle, les émissaires de l'Europe se font de plus en plus nombreux en Palestine. Il s'agit de prendre la place de l'Empire ottoman déclinant, par tous les moyens. Sans crainte d'attiser les rtvBJLités confessionnelles.
Le xixe siècle finissant est celui des grands pèlerinages : à Lourdes, à La Salette, à Paray-le-Monial, c'est par dizaines de milliers que, chaque année, les fidèles vont se recueillir et prier sur les lieux où la Vierge est apparue à quelques « âmes simples ».
Les routes de Saint-Jacques-de-Compostelle restent sans conteste les plus prestigieux des chemins de pèlerinage. Au point qu'en 1987, le Conseil de l'Europe les a désignées comme premiers itinéraires culturels européens. Elles ont en effet joué, au Moyen Age, un rôle essentiel dans l'évolution des mentalités. Et la diffusion des échanges.
Victimes royalistes ou républicaines de la chouannerie et de la guerre de Vendée, de nombreux « martyrs » disparus en 1793 font, aujourd'hui encore, l'objet d'étonnantes dévotions populaires. Une enquête exemplaire attire l'attention sur cette facette oubliée des mentalités françaises*.
Alors que la paix semble s'installer au Cambodge, le chef de l'État, Norodom Sihanouk, et les dirigeants de IVNESCO ont entrepris une campagne pour que l'exceptionnel site d'Angkor soit inscrit au patrimoine mondial Si la guerre l'a jusqu'ici préservé, les pillards et les touristes l'ont considérablement dégradé. Bruno Dagens nous rappelle dans quelles circonstances l'Europe s'est intéressée au Cambodge.
Qui étaient les pèlerins du Moyen Age ? Que recherchaient-ils sur les routes de Jérusalem, de Rome ou de Saint-Jacques-de-Compostelle ? Moines voués à l'apostolat, pénitents en quête d'absolution ou mystiques désireux de suivre les pas du Christ, ils représentaient une piété populaire que l'Eglise parvenait difficilement à contrôler.
L Europe s enorgueillit d'avoir donné des routes à l'Afrique. Pourtant, bien avant l'arrivée des colonisateurs, le «continent noir» était sillonné en tous sens par de très anciennes voies de circulation. Pierre Alexandre fait revivre pour nous ces voyages sur des fleuves capricieux et des pistes aventureuses. Un lacis de routes ancestrales aujourd'hui vouées à l'oubli...
Les règles d or du touriste modèle furent édictées au XVIe siècle par un gentilhomme breton, le sieur de Villamont, au retour d'un périple-pèlerinage de Rome à Jérusalem. Tantôt épique, tantôt charmeur, le récit qu 'il en rédigea est une merveilleuse invitation au voyage.
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