Réunion illicite au cabaret
Ce sont, au XVIIIe siècle, les réunions clandestines qui inquiètent les autorités.
Ce sont, au XVIIIe siècle, les réunions clandestines qui inquiètent les autorités.
Quel est le rôle de la police dans une démocratie ? Comment la république a-t-elle défini ses missions, établi un équilibre entre la liberté et la surveillance des citoyens, le respect des droits de l'homme et l'usage de la violence ? Qui sont les policiers ? Sont-ils plus ou moins efficaces qu'à la fin du XIXe siècle ? Rétrospective sur cent ans d'une institution controversée et méconnue.
La dispersion des fonctions de police entre la gendarmerie et la police et, au sein de chacune, entre de nombreux services, nuit-elle à l'efficacité des enquêtes ?
Rackets, vols avec violence, coups et blessures, incendies de véhicules... Les violences urbaines ont explosé en quelques années. Face à ces troubles largement médiatisés, les forces nationales de police paraissent dépassées. Et leur légitimité menacée.
Ministre de la Police sous le Consulat puis l'Empire, Joseph Fouché incarne la face noire de la raison d'État. Et si ce zélé serviteur de l'autoritarisme avait été l'inspirateur d'une police républicaine, et non dévouée aux seuls intérêts du prince ?
Des commissaires Bourrel ou Maigret dans les années 1960 à Navarro ou Julie Lescaut aujourd'hui, la représentation de la force publique sur le petit écran a profondément évolué. Radiographie d'un genre très populaire.
A la tête de la Préfecture de police de 1879 à 1881, et de ses services politiques occultes, Louis Andrieux concentra entre ses mains des pouvoirs exorbitants. Ce préfet flamboyant, manipulateur, secret et ambitieux incarne les contradictions de la IIIe République naissante.
C'est au gouvernement de Vichy que l'on doit l'étatisation des polices municipales et la constitution d'une police moderne.
Tout à leur souci de construire un État fort, les artisans de la Révolution nationale s'efforcèrent de rationaliser l'appareil policier. Mais, pris dans l'engrenage de la Collaboration, Vichy dut impliquer activement sa police dans les rafles de Juifs commencées à l'été 1942.
Le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers de manifestants se rassemblaient à Paris, à l'appel du FLN, pour protester contre le couvre-feu imposé aux « Français musulmans ». L'événement et ses conséquences tragiques ont d'abord fait l'objet d'un « oubli » très officiel. Puis d'une enquête qui donnait la parole, pour la première fois, aux victimes et aux témoins. Aujourd'hui, alors que le procès de Maurice Papon replace ce drame au cœur de l'actualité, Guy Pervillé, historien de la guerre d'Algérie, nous propose sa version des faits. Dépassionnée et rigoureuse*.
Juriste de formation, historienne du XVIP siècle, romancière, Ariette Lebigre s'est passionnée pour l'étude de la face cachée du Grand Siècle : le monde des voleurs, des empoisonneuses et des assassins, mais aussi celui des policiers et des magistrats, plus ou moins honnêtes...
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