Police

La police sous l'Occupation

En temps de crise, la police est toujours exposée parce qu'elle est un enjeu de premier ordre. On l'a bien vu sous Vichy. Pour Jacques Delarue, historien, ancien commissaire divisionnaire et ancien résistant, il est impossible de réduire la situation sous l'Occupation aux stéréotypes « flic-collabo » et « flic-résistant ».

Le tavernier, le juge et le curé

Au cabaret, on boit et on achète des boissons. On parle aussi. Les idées subversives s'affichent. Les gens de l'ombre s'y abritent. En 1789, le marchand de vin est bien cet agitateur politique que dénoncent le juge et le curé.

Voyage à l'intérieur du Parti communiste tchécoslovaque

Voilà plus de dix ans que la Tchécoslovaquie, occupée, est «normalisée». Le temps d'un printemps de Prague, Karel Kaplan, membre du Comité central du parti communiste tchécoslovaque, fut chargé d'établir les dossiers de réhabilitation des victimes de l'ère stalinienne. Ce fut, pour Kaplan, l'occasion d'un bouleversant voyage dans les archives de son parti. Un voyage auquel les chars soviétiques mirent fin et qui, aujourd'hui, s'achève dans l'exil et par un livre.

La naissance de la police en France

La violence et le sentiment d'insécurité ne sont pas réservés à notre siècle. Pourtant la police, instrument de la répression, est une création relativement récente. Jusqu'au XVIIe siècle elle n'a été rien d'autre qu'un mot.