Police

Cérémonies secrètes

Dans les années 1730 se multiplient a Paris d'étranges cérémonies : des réunions de sodomites. Michel Rey a lu les rapports de police qui les concernent.

Les « indics » de la Révolution

Sous la Terreur, les prisons de la Révolution étaient truffées de « moutons » qui dénonçaient les co-detenus. Dans les papiers restes inédits de l'accusateur public Fouquier-Tinville, Olivier Blanc a suivi la « brillante » carrière de 1 un d entre eux : le comte de Ferrières-Sauvebeuf.

Le FBI de John Edgar Hoover

A force de parler de la CIA, on oublie le FBI et son chef, John Edgar Hoover. Puissant, redouté, le patron des fameux « G-Men » n'est plus aujourd'hui le héros des Américains. En effet, les révélations s'accumulent. Hoover, Fange, n'a-t-il pas fondé son pouvoir sur l'arme absolue : une collection de fiches concernant la vie privée et secrète des présidents Roosevelt, Nixon et Kennedy ?

Les « mouchards » de la France occupée

Les Français ont-ils dénoncé les Juifs et les résistants pendant la guerre ? Non ! Jacques Poujol, historien et ancien résistant, affirme, lui, que c'est en dépouillant systématiquement le courrier que Vichy découvrait les noms de ses futures victimes.

Les origines de la carte d'identité

Les projets nouveaux de contrôle d identité mettent à l'ordre du jour le problème des libertés civiques. L'ancien commissaire Jacques Delarue nous montre que la hantise du fichier central est aussi vieille que la carte d'identité elle-même.

La rumeur de Paris : rapts d'enfants en 1750

En 1750, de mystérieuses disparitions a enfants faisaient vivre les Parisiens dans l'angoisse. A quoi étaient destinées ces jeunes proies? A d'obscures expériences de dissection? A de périlleux voyages outre-mer? Ou tout simplement à servir dans les armées du roi?

L'affaire Troppmann (1869)

Un fait divers en forme d'apoiogue social, un feuilleton de série noire qui met en scène tous les phantasmes de i'époque, telle apparaît l'affaire Troppmann, l'« affreux crime de Pantin », qui défraya la chronique au crépuscule du Second Empire.

Les lettres de cachet

Symbole de l'arbitraire royal, la lettre de cachet sort enfin de la légende. Pour Claude Quétel, elle répondait d'abord aux exigences des familles nobles et bourgeoises, désireuses de se débarrasser de quelque rejeton non conformiste.