Le KGB dans le système soviétique
En Union soviétique, les hommes d'Etat changent mais le KGB reste. Michel Heller nous en dit plus sur une organisation pour laquelle les seules informations qui comptent sont d'origine secrète.
En Union soviétique, les hommes d'Etat changent mais le KGB reste. Michel Heller nous en dit plus sur une organisation pour laquelle les seules informations qui comptent sont d'origine secrète.
Si vous voulez connaître la face cachée des écrivains du siècle des Lumières, lisez, avec Robert Darnton, les rapports inédits d'un policier consciencieux et fouineur, Joseph d'Hémery.
Dans les années 1730 se multiplient a Paris d'étranges cérémonies : des réunions de sodomites. Michel Rey a lu les rapports de police qui les concernent.
Sous la Terreur, les prisons de la Révolution étaient truffées de « moutons » qui dénonçaient les co-detenus. Dans les papiers restes inédits de l'accusateur public Fouquier-Tinville, Olivier Blanc a suivi la « brillante » carrière de 1 un d entre eux : le comte de Ferrières-Sauvebeuf.
A force de parler de la CIA, on oublie le FBI et son chef, John Edgar Hoover. Puissant, redouté, le patron des fameux « G-Men » n'est plus aujourd'hui le héros des Américains. En effet, les révélations s'accumulent. Hoover, Fange, n'a-t-il pas fondé son pouvoir sur l'arme absolue : une collection de fiches concernant la vie privée et secrète des présidents Roosevelt, Nixon et Kennedy ?
Les Français ont-ils dénoncé les Juifs et les résistants pendant la guerre ? Non ! Jacques Poujol, historien et ancien résistant, affirme, lui, que c'est en dépouillant systématiquement le courrier que Vichy découvrait les noms de ses futures victimes.
Les projets nouveaux de contrôle d identité mettent à l'ordre du jour le problème des libertés civiques. L'ancien commissaire Jacques Delarue nous montre que la hantise du fichier central est aussi vieille que la carte d'identité elle-même.
En 1750, de mystérieuses disparitions a enfants faisaient vivre les Parisiens dans l'angoisse. A quoi étaient destinées ces jeunes proies? A d'obscures expériences de dissection? A de périlleux voyages outre-mer? Ou tout simplement à servir dans les armées du roi?
Un fait divers en forme d'apoiogue social, un feuilleton de série noire qui met en scène tous les phantasmes de i'époque, telle apparaît l'affaire Troppmann, l'« affreux crime de Pantin », qui défraya la chronique au crépuscule du Second Empire.
Symbole de l'arbitraire royal, la lettre de cachet sort enfin de la légende. Pour Claude Quétel, elle répondait d'abord aux exigences des familles nobles et bourgeoises, désireuses de se débarrasser de quelque rejeton non conformiste.
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