Un jeune garçon de 1 600 000 ans...
Le squelette d'un « Homo erectus » vieux de 1 600 000 ans vient d'être découvert au Kenya. Son âge, sa taille et sa charpente robuste ont provoqué un sérieux bouleversement dans le monde de l'anthropologie.
Le squelette d'un « Homo erectus » vieux de 1 600 000 ans vient d'être découvert au Kenya. Son âge, sa taille et sa charpente robuste ont provoqué un sérieux bouleversement dans le monde de l'anthropologie.
Depuis 1963, personne ne peut plus visiter la fameuse grotte de Lascaux atteinte de la « maladie verte ». Une reconstitution fidèle - Lascaux II -, vient d'être achevée et ouverte au public*. Au prix de véritables prouesses techniques.
Les chars représentes sur les célèbres peintures rupestres du Sahara ont toujours intrigué les archéologues. D'où venaient-ils ? A quoi servaient-ils ? Existait-il une « route des chars » ? Une publication récente répond à ces questions.
Tout commence d une façon insolite dans les années trente, quand un jeune cultivateur de l'Allier trouva des tessons de poterie et une tablette de terre cuite. En son temps, l'étrange affaire de Glozel déchaîna les passions. Elle vient d'être relancée en prenant un tour politique. Michel de Boiiard ouvre pour nous ce dossier complexe.
N'en déplaise à certains, il n'y a pas de « race française ». Et les Gaulois ne sont pas nos seuls ancêtres. C'est ce que montre l'histoire exemplaire du peuplement de la Normandie.
Si vous croyez que l'homme préhistorique errait à la recherche d'une maigre pitance pour calmer sa faim vous serez déçu : rien ne l'empêchait d'éiaborer de succulentes recettes de cuisine.
Alors que le CNRS vient d'organiser à Paris ur colloque international sur « Les processus de l'hominisation », Yves Coppens, professeur au Muséum d'histoire naturelle - l'homme qui a découvert le plus ancien squelette des australopithèques (jusqu'à quatre millions d'années) -, nous dit quel est, selon lui, le schéma évolutif de l'homme.
Lascaux : on connaît la célèbre grotte préhistorique et ses fresques. Mais une nouvelle étude nous rappelle qu'on ignore encore la signification symbolique de ce sanctuaire du XVIe-XVe millénaire avant notre ère...
Le 25 juin prochain, le musée de l'Homme présentera une exposition de préhistoire sur les « rites de la mort ». Des rites peu connus, que l'on restitue à partir de découvertes archéologiques, sans pour autant pouvoir en saisir toujours la signification.
A plus de 4 000 mètres dans les Andes, quelques foyers et des traces de feu, des couteaux et des racloirs, des petites pierres et beaucoup d'os. Ce n'est pas un poème de Prévert, mais ce qu'il reste d'une des plus fondamentales inventions de l'humanité.
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