La Commune : l'épine dans le pied de la République
La Commune et son histoire sont longtemps restées un objet répulsif ou incongru.
La Commune et son histoire sont longtemps restées un objet répulsif ou incongru.
Ils sont devenus les symboles du pouvoir du peuple en république. Comment une fonction politique de la Rome antique a-t-elle pu acquérir une telle importance symbolique au fil des siècles ?
Spinoza reste associé à l'image d'une République idéale, exception dans l'Europe absolutiste. Mais elle faillit être abattue en 1672, l'« année du désastre », par les princes d'Orange.
En quelques années, la jeune République des Provinces-Unies où allait vivre Spinoza est devenue l'une des premières puissances du monde et l'un des centres intellectuels et artistiques les plus florissants. Aux yeux des contemporains eux-mêmes ce fut un véritable âge d'or.
La France peut-elle être gouvernée au centre ? Depuis la Révolution, la bipolarisation de la vie politique semble être la norme. Des voix se sont fait entendre pourtant, dès Mme de Staël et Benjamin Constant, pour promouvoir ce réformisme tempéré, ce conservatisme modéré, ce refus des extrêmes.
Pour nous, république et démocratie sont intimement liées. Ce couple ne va pourtant pas de soi à Rome, là où le concept de res publica s'est lentement forgé. La république n'y désigne pas un régime politique mais la communauté des citoyens en action. Mais, dans ce régime oligarchique, quel était vraiment le pouvoir du peuple ?
Depuis l'émancipation de 1791, la gauche a largement défendu la cause des Juifs. Sans toujours échapper aux stéréotypes. C'est l'affaire Dreyfus qui la vaccine contre l'antisémitisme.
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