Religion

Au commencement, les Sumériens

Nous devons aux Sumériens l'écriture, notre conception du monde divin, les premières villes. La civilisation occidentale est sans doute née en Mésopotamie, il y a près de cinq mille ans. Le grand historien des religions Jean Bottéro nous raconte comment le destin du monde moderne s'est joué entre le Tigre et l'Euphrate.

Des barbares très civilisés

Non, les Gaulois ne vivaient pas en autarcie dans de petits villages, au fond d’une forêt profonde ! La Gaule, celle que César découvre au Ier siècle av. J.-C., est ouverte au commerce international, ses campagnes sont peuplées et cultivées... Une mise au point décapante que permettent les dernières découvertes archéologiques.

Les combats des sikhs

D'abord une secte, née au XVe siècle. Puis un groupe social, qui prit possession du Pendjab. Les sikhs conservent un fort sentiment identitaire. Au risque de basculer dans le terrorisme.

La plus vieille histoire de l'Inde

Charles Malamoud retrace ici les origines d’une civilisation sans pareille. Tout commence avec les Arya, qui s’installent en Inde à partir de 1500 av. J.-C. Ils apportent avec eux une langue, le sanskrit. Et composent un ensemble de textes qui structurent, jusqu’à nos jours, les principaux rites hindous.

Les tribus de l'Arabie déserte

Qui sont les premiers Arabes ? Il y a trois mille ans : des agriculteurs et des pasteurs nomades vivant aux marges du désert. Des tribus qui parlent des langues apparentées mais adorent chacune leurs dieux. Sans avoir conscience d'appartenir à un même ensemble.

Quand les Étrusques devinrent romains

Quand les Étrusques devinrent romains Au VIe siècle avant notre ère, les Étrusques dominent toute la moitié nord de l'Italie.

Trois siècles plus tard, ils sont soumis par Rome. Défaite militaire ? Pas seulement ! Pour préserver leurs privilèges, les élites étrusques ont en effet joué la carte romaine. Ce qui explique leur remarquable intégration dans l'empire.

Mille loges au royaume de France !

Soudés autour de quelques principes d'universalisme et de cosmopolitisme, les francs-maçons du XVIIIe siècle ne cessent de prospérer. Ils sont aristocrates, bourgeois ou artisans. Composant une société éclatée entre obédiences diverses, querelles de rites et de personnes, rivalités nationales.