Rome antique : le suicide n'est pas obscène
À Rome, il en était du suicide comme de l'homosexualité ou de la contraception* : l'opinion publique y était indulgente et la loi ne le punissait pas.
À Rome, il en était du suicide comme de l'homosexualité ou de la contraception* : l'opinion publique y était indulgente et la loi ne le punissait pas.
En sillonnant la Méditerranée orientale dans les années 45-60 de notre ère, l'apôtre Paul fait éclater l'Église chrétienne primitive, jusque-là petite secte juive, et convertit au christianisme le monde grec.
Incompris, redoutés, persécutés parfois pour leur étrange religion, les juifs de l'Antiquité n'eurent jamais leur place à part entière dans le monde gréco-romain. Un grand intellectuel juif de formation grecque, contemporain du Christ, tenta bien de réduire le fossé entre juifs et non-juifs, mais la montée des affrontements laissait peu de chances à ses efforts.
L'Usurpation ou le roman de Marc-Aurèle, que François Fontaine vient de publier (Fayard), est un des rares romans historiques où l'invention soutient l'histoire sans lui nuire.
Cicéron, Pline ou Salluste témoignent, par leurs préoccupations, dans leur correspondance, de l'importance de la vie financière à Rome. Celle-ci, pourtant, n'était pas, et de loin, le seul fait des banquiers, souvent moins riches que les prêteurs - sénateurs et grands propriétaires.
« Plaidoyer pour Clodius »
L'Italie, ensanglantée par les attentats politiques, renoue-t-elle avec son passé romain ? Les derniers temps de la République furent marqués par la montée de la violence, qui accoucha du pouvoir des généraux : l'Empire.
Les modernes camps de déportation s'entourent de mystère. Longtemps après leur suppression, ils gardent encore des secrets. Que dire, alors, de ceux qui datent de l'Empire romain ?
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