Les Allemands « libérateurs » de l'Ukraine ?
Les Ukrainiens ont-ils collaboré avec l'envahisseur nazi ? La propagande stalinienne le leur a en tout cas sévèrement reproché après la guerre.
Les Ukrainiens ont-ils collaboré avec l'envahisseur nazi ? La propagande stalinienne le leur a en tout cas sévèrement reproché après la guerre.
Pourquoi l’armée soviétique, déstabilisée par les erreurs stratégiques de Staline, l’a-t-elle emporté à Stalingrad ? Qu’en est-il de la mobilisation patriotique exaltée par la propagande ? Quel a été le bilan, économique et humain, de cette résistance collective sans précédent ? Les archives permettent de faire le point sur des sujets longtemps tabous.
2 mai 1945 : Berlin se rend aux Soviétiques, quelques jours avant la capitulation du Reich. Et après douze jours de combats acharnés entre les dernières troupes allemandes et l'Armée rouge.
Dès 1940, les Juifs sont nombreux dans la Résistance. Leurs récits témoignent qu'ils ont d'abord combattu pour défendre la patrie, la justice et la République. Mais aussi, à partir de 1941, pour sauver les enfants menacés. Les peindre timorés, résignés, passifs, relève du fantasme ou de la calomnie.
L'Institut catholique de Toulouse offre, durant la Seconde Guerre mondiale, l'exemple d'une entreprise méconnue de résistance à la politique d'exclusion menée contre les Juifs de France*.
L'affaire bouleverse l'opinion publique allemande depuis cinq ans. Il s'agit d'une exposition ouverte au printemps 1995, fermée pour cause de scandale à l'automne 1999. Et qui devrait rouvrir au début de l'année 2001. Son titre : « Les crimes de la Wehrmacht ».
Sartre fut-il sous l'Occupation cet opportuniste plus soucieux de faire jouer ses pièces que de s'engager dans la Résistance ? Ou au contraire le maquisard intellectuel pur et dur qu'on a voulu voir en lui à la Libération ? Enquête. Au-delà des légendes.
Exceptionnels témoignages d'une époque, ces clichés des années 1941-1944 permettent d'évoquer le Paris de l'Occupation. Les commentaires de Jean-Pierre Azéma.
Il y a soixante ans, plus de 25 000 prisonniers de guerre polonais étaient massacrés par les forces soviétiques sur ordre de Staline. A la découverte du charnier de Katyn, longtemps attribué aux nazis par la propagande soviétique, s'est adjointe celle de dizaines de nouvelles fosses. Des éléments accablants pour le régime communiste.
Le 30 novembre 1939, l'URSS attaque la Finlande. Trois mois plus tard, le 12 mars 1940, l'armistice est signé à son avantage. La campagne a pourtant coûté une centaine de milliers d'hommes, et révélé des faiblesses dont Hitler saura tirer profit. On connaît aujourd'hui la réaction de Staline à l'événement.
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