Quand l'enseignement public était catholique
Le débat sur l'école a envahi la rue, le Parlement, les média et les vitrines des libraires. François Lebrun verse au dossier une pièce peu connue*.
Le débat sur l'école a envahi la rue, le Parlement, les média et les vitrines des libraires. François Lebrun verse au dossier une pièce peu connue*.
Les sondages le montrent : la confession disparaît. En même temps on découvre que cette pratique religieuse n'a pas toujours existé*.
Le métier de soldat n'impliquait, à l'origine, aucune obligation morale particulière. Jusqu'à ce que l'Église intervienne. C'est ce que révèle une étude passionnante*.
En mars 1937, le pape Pie XI publie deux encycliques visant, Tune le «communisme athée», l'autre les fondements idéologiques du IIIe Reich. Dans cette double offensive contre le totalitarisme, û serait cependant erroné de voir une parfaite symétrie.
Si le cardinal Lavigerie, archevêque d'Alger en 1867, fondateur des « pères blancs » et des « sœurs blanches », est devenu une figure légendaire de la colonisation, c'est que les intérêts de l'Église catholique et ceux de la République laïque convergeaient.
Charlemagne polygame et incestueux... Ne crions pas au scandale. Ecoutons Michel Rouche nous expliquer en quels étranges termes se posait le problème, pour un prince franc, aux alentours de Tan 800.
Pendant un bon millénaire, il n'allait pas de soi, pour les chrétiens, que le mariage dût être monogame, indissoluble et fondé sur le consentement de deux individus.
Dans les dictionnaires, au mot « paresse » répond « oisiveté », « fainéantise », « indolence », « mollesse »... Jean Delumeau a voulu savoir pourquoi, et depuis quand, notre société confond, dans une même condamnation, « ruffians », malfaiteurs, voleurs et... paresseux !
C'est seulement a partir de 1936 que le fascisme prend, en Italie, son aspect totalitaire : militarisation de la société, « révolution culturelle », politique extérieure agressive, lois racistes bientôt... Sur les causes de ce tournant, les analyses divergent. D y va de la nature même du fascisme.
Lettres, pamphlets, poèmes rageurs ou orduners... Rien n'y fait : entre Moyen Age et Révolution, l'antiféminisme perd du terrain. Dans cet interminable procès des femmes, reconstitué par Maurice Lever, les plus brillants plaideurs côtoient les plus pitoyables.
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