Les Barbares à Rome
A l'été 410, les Goths entrent dans Rome au son des trompettes et ravagent la ville. Jamais Rome, depuis huit siècles, n'a subi d'invasion étrangère. Est-ce la fin de l'Empire romain ?
A l'été 410, les Goths entrent dans Rome au son des trompettes et ravagent la ville. Jamais Rome, depuis huit siècles, n'a subi d'invasion étrangère. Est-ce la fin de l'Empire romain ?
Dans sa marche victorieuse contre l’Empire perse, le roi macédonien Alexandre le Grand fait incendier Persépolis et son gigantesque palais. Le choc est d’autant plus fort que rien ne semble justifier cet acte de vandalisme.
L’épisode a fait 80 000 morts : les victimes romaines des populations grecques d’Asie Mineure. Jamais le rejet de la domination romaine ne s’était exprimé avec une telle férocité.
Vers le VIIe siècle av. J.-C., les Grecs semblent avoir inventé une nouvelle technique de combat : l'affrontement de deux groupes de fantassins disposés en phalanges. On a longtemps pensé que cette « révolution militaire » avait accompagné la naissance de la cité et de la démocratie. La réalité n'est pas si simple.
Homère a fait de la guerre de Troie un mythe fondateur de la Grèce antique. Curieuse épopée nationale, pourtant, qui met en scène destructions, ruines, désertions, massacres abjects. Et fin d'un monde.
Au milieu du XVe siècle av. J.-C., la civilisation minoenne, dont le splendide palais de Cnossos porte témoignage, semble s'évanouir brutalement. Pourtant, les nouveaux maîtres de la Crète, les Mycéniens, lui empruntent bien des traits culturels : écriture, organisation politique, artisanat...
A partir de 900 avant notre ère, les Phéniciens, concentrés sur l'actuelle côte libanaise, se lancent à la conquête de la Méditerranée. Navigateurs et commerçants, ils fondent des comptoirs jusqu'en Tunisie, en Italie et en Espagne. Leur artisanat, leur alphabet, leurs dieux se retrouvent partout... Comment cette brillante civilisation a-t-elle pu se dissoudre dans l'empire d'Alexandre le Grand au IVe siècle av. J.-C. ?
La nouvelle bibliothèque d'Alexandrie vient d'ouvrir ses portes. Hommage à ce qui fut l'une des merveilles du monde antique. Édifiée au IIIe siècle avant notre ère, elle avait pour ambition de rassembler le savoir universel.
En 1939, un archéologue grec a l'idée d'expliquer le déclin de la civilisation minoenne par une catastrophe naturelle : l'éruption du volcan de Santorin. L'hypothèse, très séduisante, est aujourd'hui abandonnée. Elle alimente cependant toujours le débat sur l'Atlantide. Et sur la fin des civilisations.
Quand les Étrusques devinrent romains Au VIe siècle avant notre ère, les Étrusques dominent toute la moitié nord de l'Italie.
Trois siècles plus tard, ils sont soumis par Rome. Défaite militaire ? Pas seulement ! Pour préserver leurs privilèges, les élites étrusques ont en effet joué la carte romaine. Ce qui explique leur remarquable intégration dans l'empire.
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