Deng Xiaoping aux États-Unis
Du 28 janvier au 5 février 1979, l'homme fort de la République populaire de Chine se rend à Washington. Cette visite incarne un renversement radical des équilibres géopolitiques. Comment en est-on arrivé là ?
Du 28 janvier au 5 février 1979, l'homme fort de la République populaire de Chine se rend à Washington. Cette visite incarne un renversement radical des équilibres géopolitiques. Comment en est-on arrivé là ?
Depuis la fin de la guerre froide et avec la montée en puissance de la Chine, l'Inde redevient un acteur majeur en Asie. Peut-elle être le contrepoids à Pékin que beaucoup appellent de leurs voeux ?
Elle est le dernier et le seul palais impérial à nous avoir été transmis. Sa construction débute en 1406, après que Pékin a été choisie comme nouvelle capitale de l'empire, et s'achève en 1421. Dès lors, elle sert à la fois de demeure à l'empereur et de centre du pouvoir.
Depuis 1912, il n'y a plus d'empire chinois. Mais après l'avènement du Parti communiste en 1949, certaines pratiques politiques renouent avec celles du régime disparu. Le pouvoir de Mao, et aujourd'hui de Xi Jinping, évoque la puissance du fils du Ciel.
Longtemps, aucun portrait d'empereur vivant n'a circulé en Chine. Les choses changèrent à partir du VIe siècle, lorsque des portraits du fils du Ciel furent révérés hors du seul culte des ancêtres, et plus encore au XVIIIe siècle, lorsque son effigie devint un instrument de propagande interne.
C'est en 221 av. J.-C. qu'est unifié le territoire chinois sous l'égide du Premier empereur. Ce principe d'unité est si ancré dans la culture politique chinoise qu'il a permis au système impérial de se maintenir malgré les changements de dynastie.
Alain Roux livre la première biographie non partisane de Chiang Kaï-shek, vaincu par les communistes en 1949 et qui termina sa vie en exil à Taïwan. Il revient sur l'ascension de cet homme finalement médiocre, qui croyait pourtant indéfectiblement en son destin.
La rencontre entre l'Europe et la Chine au XVIe siècle fut « scientifique ».
A la fin du XIXe siècle, les concessions étrangères ont fait de Tianjin un monde en réduction. Un véritable laboratoire de la modernité dont savent tirer parti les élites chinoises.
A l'époque des Han postérieurs, pendant les deux premiers siècles de notre ère, les Chinois se percevaient comme le centre du monde civilisé. Les autres peuples étaient des Barbares. Mais ils savaient qu'il existait très loin, à l'ouest, un grand pays civilisé, une contrée étrange, un double exotique : l'Empire romain.
En poursuivant votre navigation sur les sites du groupe Sophia Publications, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des services et contenus personnalisés.