Champollion en orient
En 1828, Jean-François Champollion, le plus illustre des spécialistes de l'ancienne Egypte, découvre les pyramides. Sa correspondance et son Journal permettent de connaître ses premières impressions...
En 1828, Jean-François Champollion, le plus illustre des spécialistes de l'ancienne Egypte, découvre les pyramides. Sa correspondance et son Journal permettent de connaître ses premières impressions...
A l'an 2000, les salaries français devraient voir leur temps de travail réduit à 35 heures par semaine. L'aboutissement d'une lutte vieille de plus d'un siècle, où se sont conjugués le souci des intérêts des travailleurs et les impératifs politiques. Ainsi que 1 effet des crises économiques.
Dépression, recession, malaise, morosité... Les mots ne manquent pas pour décrire l'état de notre société. Avec l'impression que la France, depuis 1973, n'a cessé d'être en crise. Et que les politiques économiques se sont toutes révélées inutiles pour en sortir. Idées reçues ou analyse pertinente ? Les réponses sans concession de Jacques Marseille à six questions que tout le monde se pose sur la « crise » et ses origines.
En 1598, l'édit de Nantes met un terme définitif aux guerres de Religion. Pour autant, le royaume n'entre pas du jour au lendemain dans une époque de tolérance, dont l'idée même est "bien éloignée de l'esprit du texte. Aboutissement de plus de trente ans d'efforts de pacification, mélange d'archaïsme, de modernité et d'habileté politique, ce traité fonde cependant la coexistence durable des catholiques et des protestants en France.
Le 25 juillet 1593, à Saint-Denis, devant une grande assemblée ecclésiastique et populaire, Henri IV abjure solennellement la religion protestante. Une conversion dictée sans doute par l'ambition politique, mais qui, rapporte un chroniqueur, lui fit verser des larmes. La pacification du royaume était à ce prix.
La nuit du 24 août 1572 est restée dans les mémoires comme un épisode caractéristique de ces guerres civiles : la barbarie s'y est donnée libre cours, au nom de la religion. Comment expliquer cette étonnante confusion entre la pire violence et le sentiment du sacré ? Analyse d'atrocités commises au nom de Dieu, qui trouvent aujourd'hui un écho en Algérie et ailleurs.
Pendant quatre décennies, la France est ravagée par des guerres de Religion au cours desquelles les affrontements entre catholiques et protestants atteignent une terrible intensité. Des guerres aux motivations complexes, où s'entrelacent enjeux religieux et politiques, rivalités nobiliaires, violences populaires et conflits internationaux.
Les délinquants dont le comportement relevé de la pathologie psychiatrique doivent-ils être pris en charge par une institution médicale, ou judiciaire ? Où s'arrête le pouvoir des médecins, où commence celui des juges ? Autant d'interrogations qui se posaient dans les mêmes termes, il y a un siècle.
La volonté française de réduire la durée du travail à trente-cinq heures est une erreur, affirme Nicolas Baverez, l'auteur des « Trente Piteuses », à paraître chez Flammarion. Il n'est qu'à se référer aux échecs de 1936 et de 1982 pour s'en convaincre.
Un gouvernement socialiste est au pouvoir en France. Il pourra profiter, pour mener son action, de la stabilité que lui confèrent les institutions de la Ve République. Et de la légitimité acquise sous les deux septennats de François Mitterrand. Est-ce l'occasion de rompre enfin avec une fatalité de l'échec ? Car, du Cartel des Gauches dans les années 1920, au ministère Guy Mollet pendant la guerre d'Algérie, en passant par l'expérience de Léon Blum lors du Front populaire, la gauche a souvent manqué ses rendez-vous avec le pouvoir.
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